Le roi des cons

Il était un con de roi,  qui vivait dans un royaume de cons, avec un con de chien et une chienne de vie,

Ce con de roi, con jusqu’au bout de sa connerie et de ses cornes, marié à une conne de reine au teint rubicond, lui ayant consenti l’engendrement de trois petits cons, tous plus condescendants les uns que les autres, ce con de roi, était plus con que quiconque, ne jurant que par son confort, pétri de concupiscence.

Conséquence connexe de sa contribution  cognitive à cette vie de con, notre con de roi, roi des controverses, n’avait compassion que pour les cons de ses compagnes, honorés constamment au gré de ses désirs continuels et incongrus, sans conciliabule.

Il consentait concurremment, mais à compte goutte, le concours de quelques concitoyens consensuels à son œuvre consternante et sans contribution aucune a l’intérêt de ces dits compagnons, concrètement, il cultivait constamment, une compassion égoïste et exclusive à son seul égard, la concrétisation d’un tableau abscons, consécration de sa consternante cocasserie.

Ce con la, très concis, utilisait sans congés l’expression consacrée à ses connivents compatissants ‘qu’on m’apporte ceci ou cela, pauvre con’ conversation continuelle avec son contentement  qu’on devait concrétiser consécutivement, de concert, et sans  concession au risque de prendre congé.

C’est bien connement que notre con de roi consacra son con de règne au service de ces contribuables enclins à compter sans compter les conneries racontées par leur conseillant peu conciliant, sans considération a leur égard, le dit con condamnant de concert tout congénère ou contrordre ou susceptible de le concurrencer.

Concrètement, je ne pense pas qu’on puisse continuer de concerto sur ce contingent de consonnes à voyelle concentrique C-o-N sans le condamner par contumace, ce qui, qu’on se le dise, serait de bon ton.

Con tu es, con de roi, con tu resteras, tant qu’il y aura assez de cons, si peux combatifs,  pour te reconduire en concertation, aux commandes du consulat, c’est vraiment trop con, mais c’est ainsi !

Conclusion.