le temps des ravages
shakashaka
Le temps des ravages
C’est le temps des ravages, les pensées des femmes sauvages
Idolâtre panoramique, un violent récital à se fendre l’optique
La carence à l’excès les fantômes aux aguets
Oh simulacre des corps, les souvenirs de la flore
Oh déesse du hasard,à l’errance à l’écart
Oh désillusion, à l’angoisse, à l’extase
Au plaisir de la chair, au regard qui passent
Au plaisir de la chair, au regard qui passent
Oh solitude qui perle, oh silence qui berce
Oh solitude qui perle, oh silence qui berce
L’insoutenable légèreté des êtres
La magie des ombres du soleil à la pénombre
La comète est opaque, les affres s’étalent
Plus un mot pour ta frange, je me noie dans l’étrange
Un ballet tentaculaire, un essaim d’excès
Oublier le désir, mes sentiments d’élixir
Oublier le désir, mes sentiments d’élixir
Le souffle de l’aurore, nostalgie sur le port
Quand les traces vous bercent
De ses plaies de l’ivresse
La mélancolie s’illumine
Du baiser des ondines
C’est le temps des ravages, les pensées des femmes sauvages
Idolâtre panoramique, un violent récital à se fendre l’optique
La carence à l’excès les fantômes aux aguets
Oh simulacre des corps, les souvenirs de la flore
Oh déesse du hasard,à l’errance à l’écart
Oh désillusion, à l’angoisse, à l’extase
Au plaisir de la chair, au regard qui passent
Au plaisir de la chair, au regard qui passent
Oh solitude qui perle, oh silence qui berce
Oh solitude qui perle, oh silence qui berce
L’insoutenable légèreté des êtres
La magie des ombres du soleil à la pénombre
La comète est opaque, les affres s’étalent
Plus un mot pour ta frange, je me noie dans l’étrange
Un ballet tentaculaire, un essaim d’excès
Oublier le désir, mes sentiments d’élixir
Oublier le désir, mes sentiments d’élixir
Le souffle de l’aurore, nostalgie sur le port
Auteur :sébastien Hochet
"Le souffle de l'aurore, nostalgie sur le port". Beau.
· Il y a plus de 13 ans ·Gisèle Prevoteau