le trèfle

Jean François Joubert

rouge sang tes pupilles, tu masque ton ennuie en humant le calumet, la paix est un silence un ôde, quatre danse et pas ce rêve de croire que la paradis est hors de ta mémoire, tu pue la nostalgie de croire que ton pays jamais ne te nourie, jardine et cuicui des sardines

jardine et oublie le monde qui se dessine

Tu crois que l'homme est au dessus de la masse

Tu rêve d'amasser des cailloux de verre

Ton trésor est amer et je fume le cancer

Cannes festival de be

Two billes sur le refrain ça n'est pas malin

souviens toi de ton toit de tes rêves d'enfant tu jouais à la balle au ballon où simplement un bain de souffre douleur, un turk dans la cours des grands ou des gris !

j'étais celui-là celui qui ne parlait pas, je reste muet devant tant de bêtise maîtriser la vitesse et puis une seconde d'inattention et ton engin sort dans la foule, un vélocipède coule deuil ce jour là, tu crèves de jalousie de croire seulement que l'esprit est un vide que l'on remplit de canabis, alors qu'ailleurs que de ce médicament contre la souffrance que tu refuses de croiser.

Ici bas chacun rêve de traverser l'écran d'entrer dans la mémoire collective, de devenir un rêve pour l'autre tout est une histoire de cul on ose où on ose pas se donner à l'autre, pas facile de croiser le regard d'une dulcinée, homme/homme Femme/femme ou l'autre sujety tout est dissertation, il est évident de voir que la lumière s'éssoufle à cause de nous humain prédateur on ose voler la vie des oiseaux pour ne pas voir que la merde c'est nous tous et ce message est d'espoir regardez votre miroir et vous y trouverais un masque ôtez le sang alcool et retrouvez le chemin de l'école, ouvrez la cage aux différence soyez sage et le passage s'ouvrira vers un ailleurs un mon de bulles

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