l'ennui de la rouille
irae
Quand s'effondre l'agitation, les esclandres avinés, l'ébullition,
c'est la mort qui s'en va zoner
Le silence qui fait swinger un temps les vagues à l'âme et les
feux volages, les oiseaux des heures inconnues.
Et le salut amical d'une lune usée
J'ai le teint pâle et ne fait que passer, j'arrime les battements
du cœur
Autours des réverbères les éphémères, et la rouille qui s'ennuie
comme les landes urbaines et l'amour imbécile
S'embrase sans bruit ce qui me porte
Rugueux avec un soupçon de désespoir , j'aime bien
· Il y a environ 4 ans ·Patrick Gonzalez