l'ennui de la rouille

irae

Quand s'effondre l'agitation,  les esclandres avinés, l'ébullition,

c'est la mort qui s'en va zoner

Le silence qui fait swinger un temps les vagues à l'âme et les

feux volages, les oiseaux des heures inconnues.

Et le salut amical d'une lune usée

 

 

J'ai le teint pâle  et ne fait que passer, j'arrime les battements

du cœur

Autours des réverbères les éphémères, et la rouille qui s'ennuie

comme les landes urbaines et l'amour imbécile

S'embrase sans bruit ce qui me porte

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