Les eaux d'elle, sans ailes où durcit la lave de l'effroi
dimir-na
Texte protégé
Les déferlements de tous ses lacs d'angoisses, sur ses joues buvard
des derniers baisers de son tendre, noient la bise fouettant encore
son visage, face à la mer, cette grande flaque, à l'horizon de vagues.
Les trombes de toutes ses émotions, sur sa poitrine récif, au-dessus
de son unique coeur, échouent une présence, l'absence de l'autre, le
tendre, ces vapeurs disparaissantes.
Les pluies de son intérieur silhouette, torrents lavant jusqu'à sa
moelle épinière, ondent un instant, deviennent les bruines d'un au-
delà, les gouttelettes d'un big bang, où l'amour, sèche l'entendement.
An-Rimid
Douloureusement ressenti à la lecture, c'est très ...je cherche mes mots pour traduire....bouleversant ...;Oui, voilà !
· Il y a environ 10 ans ·theoreme
Un texte particulièrement émouvant. Les mots du poète font mouche, il n'était pas évident d'aborder un tel sujet, vous avez réussi à le faire avec beaucoup de délicatesse et de poésie, merci à vous
· Il y a environ 10 ans ·marielesmots