Les étoiles
oriana
Les gens sont tels des étoiles
Rassemblés par le ciel
Ils sont tous reliés par celle
Qui a le regard toile
De leur existence lumière
Ils éclairent nos vies
Et même si certains sont partis
On voit encore les morts à des années lumières
Les étoiles ont des visages
Qui dans notre tête nous dévisagent
Le fil de la pensée court les retrouver
Là où nous seul nous trouvons en réalité
Miroir de vouloir aller
Dans un endroit isolé où on voudrait regrouper
Tout ce qu'on n'a pas pu garder
Trop haut trop tard désormais
Je veux juste Briller,
· Il y a environ 8 ans ·comme une étoile
J'ai toujours dû et su me débrouiller
la vie n'est qu'une escale.
Et si je dois plier,
c'est sous l'impact des balles
mais tu ne m'entendra pas crier
car j'ai un gilet pare-balles.
Chez moi je serai rapatrié
enterré près du Grand arbre
enfin je pourrai trouver le calme
Je serai seul comme une étoile.
jinious_
Magnifique Jinious
· Il y a environ 8 ans ·oriana
Les étoiles ont biens des regards embrasés,
· Il y a environ 8 ans ·Joyaux piquants
dans un ciel trop étincelant,
pour des yeux qui longtemps ont larmoyé.
Et quand nous croyons le contempler seul,
il est vrai que nous oublions le visage de nos aïeuls,
qui longtemps ont comtemplé ce ciel,
en espérant un jour y déployer leur ailes.
Ainsi ils auraient pu y dérober les gemmes brillantes,
ou rejoindre une personne ailleurs et aimante.
Tout comme nous, ils se laissaient emporter,
par les rêveries de la douce voie lactée.
Mais pour moi, c'est ton visage qui apparait,
et les étoiles ensemble se mettent à chanter,
en faisant scintiller mes joues humides,
et j'écoute, l'esprit un peu plus lucide.
Parmi les chants des criquets,
elles laissent mes pensées divaguer et...
doucement, marmonnent, que le passé ne peut revivre, qu'il faut le jour saisir.
Alors j'essaie d'avancer,
mais je ne le peux sans trébucher,
car sans toi les heures sont lourdes,
et le silence me rend comme sourde.
Où sont donc nos rires passés ?
Le temps les a-t-il déchiré ?
Et c'est dur à supporter,
les heures sans ton amitié.
Je sais que j'ai échoué,
je voulais tes peines panser et ton rire faire résonner,
mais le chant silencieux des astres,
remplit mon esprit tel un sinistre désastre.
Comment vas-tu et à quoi pense-tu ?
Je n'aspire qu'à te serrer dans mes bras,
C'est douloureux, mais mérité... ça m'apprendra,
à t'avoir blessée sans l'avoir voulu.
Sache juste que mes étoiles à moi,
toutes les nuits chantent ton prénom,
C'est toi qui est trop lointaine pour moi,
Tandis que ma main touche la nuit en son fond.
elixir
☆
· Il y a environ 8 ans ·oriana