Les hommes qui sont passés...

Veux-tu un poème amoureux aujourd'hui ?
Ou t'en lasses-tu ?
Il est vrai que je te déclare ma flamme tous les jours
En réel et en poésie, toujours
Je suis ta femme, pas officiellement
Mais je suis comme tu le dis "ta p'tite femme"
Tu ne peux savoir comme il me plaît
De n'avoir affaire à un menteur
Toi et ta peau de lait
Tu es mon bonheur
Il est vrai que j'ai connu de fausses histoires d'amour
Qui ne rimerait jamais avec le long court
J'essayais juste de me poser
Pour enfin ma dépendance aux hommes poser
En fait il ne s'agit que d'une histoire dans ce cas là
Et je t'ai bien détruit hélas
Je ne savais t'aimer
Je ne faisais que mimer
Juste enfin une histoire sur la durée
Qui me ramènerait un peu de fierté
J'avoue, c'était très mal
Certainement pas normal
Mais j'ai cru vraiment que je finirai par t'aimer
Hélàs, malgré que je me sois démenée
J'ai fini par te quitter...
En te mentant au début
Que je n'avais personne d'autre dans ma vie...

En fait, j'avais quelqu'un
Une personne qui malgré tout ma aimé
Peut-être pas trois années comme il le dit
Mais au moins six mois passionnément
Hélas après avoir mal aimé mon ex ami
J'ai encore été une très mauvaise personne
Je te savais marié
Mais trop tard la flamme était lancée...

Trois années à t'attendre
Trois années sans espoirs
Trois années à y croire
Trois années à être une bonne poire
Même si tu as fait tellement d'efforts pour moi
Comme faire quatre heures de route juste pour me quitter
Parce que ta femme venait de tout découvrir
Et tu as préféré passer deux jours avec moi que la soutenir

Nous nous sommes donc quittés
Je t'ai dit : "je suis forte"
Et puis tu es parti
Je me suis écroulée...
Les jours passaient
Et j'étais dépouillée

Mais quinze jours après
Tu n'as pu te retenir
Et tu es revenu à moi
Et notre histoire a recommencé

Tu as fait alors tous les efforts du monde
Pour moi ; comme prendre deux mois un appartement
En me cachant tout de même...
A me faire croiser tes enfants
Parce que tu me disais que je serai leur future belle-mère
Puis finalement, j'ai compris que jamais tu ne la quitterai
Que ce n'était qu'une sacrée utopie
Et que les statistiques disant que 5% seulement des hommes mariés
Quittaient leur épouse

Je suis partie
Pour d'autres contrées...
A toi Christophe
Je te donne tout
Et te dédie tout

C'est finalement avec toi
Que je me marierai