Les longs dimanches inutiles
matou
Les longs dimanches inutiles
Quand tant de bile s'amoncelle
Quand la solitude est trop belle
Quand le dégoût se cristallise
Et pourtant colle à tes semelles
Quand ta vie dans toute sa longueur
Ressemble à un début de semaine
Beaucoup trop secs sont tes pleurs
Et trop polis tes anathèmes
Les longs dimanches inutiles
Où tu vomis ton existence
Repris d'une immobile errance
Où tu oublies tes préférences
Tu pèses lourd dans l'atmosphère
Tout a pris un goût de rance
Lentement et sans crier gare
Ç'a commencé vendredi soir
Dans c'mojto un peu trop fort
Les longs dimanches inutiles
Où rien ne trouve grâce à tes yeux
À quoi bon les battements de cils
Et les espoirs amoureux
Non tu n'iras pas te coucher
Le néant est bien trop avide
De pauvres âmes écœurées
Tu as trop peur du lâcher-prise
Car alors qu'est-ce qu'il resterait ?
Tu déprimes donc tu es.
Les longs dimanches inutilesQuand tant de bile s'ammoncelleQuand la solitude est trop belleQuand le dégoût se cristalliseEt pourtant colle à tes semellesQuand ta vie dans toute sa longueurRessemble à un début de semaineBeaucoup trop secs sont tes pleursEt trop polis tes anathèmesLes longs dimanches inutilesOù tu vomis ton existenceReprise d'une immobile erranceOù tu oublies tes préférencesOù tu pèses lourd dans l'atmosphèreTout a pris un goût de ranceLentement et sans crier gareÇ'a commencé vendredi soirDans c'mojto un peu trop fortLes longs dimanches inutilesOù rien ne trouve grâce à tes yeuxÀ quoi bon les battements de cilsEt les espoirs amoureuxLOù tu n'iras pas te coucherLe néant est bien trop avideDe pauvres âmes écoeuréesTu as trop peur du lâcher-priseCar alors qu'est-ce qu'il resterait ?Tu déprimes donc tu es.Les longs dimanches inutilesQuand tant de bile s'ammoncelleQuand la solitude est trop belleQuand le dégoût se cristalliseEt pourtant colle à tes semellesQuand ta vie dans toute sa longueurRessemble à un début de semaineBeaucoup trop secs sont tes pleursEt trop polis tes anathèmesLes longs dimanches inutilesOù tu vomis ton existenceReprise d'une immobile erranceOù tu oublies tes préférencesOù tu pèses lourd dans l'atmosphèreTout a pris un goût de ranceLentement et sans crier gareÇ'a commencé vendredi soirDans c'mojto un peu trop fort
Les longs dimanches inutilesOù rien ne trouve grâce à tes yeuxÀ quoi bon les battements de cilsEt les espoirs amoureuxLOù tu n'iras pas te coucherLe néant est bien trop avideDe pauvres âmes écoeuréesTu as trop peur du lâcher-priseCar alors qu'est-ce qu'il resterait ?Tu déprimes donc tu es.
Merci Mystéria ! :)
· Il y a plus de 12 ans ·matou
bon, moi je suis vraiment trop en retard pour l'anniv!!
· Il y a plus de 12 ans ·mais bravo pour ce texte! oui!
Karine Géhin
Merci tendresse et aglouzab !Vos commentaires me font un chouette cadeau d'anniversaire :)
· Il y a plus de 12 ans ·matou