Libéralisme mon amour.

Les blagues à deux sous ou à dix, vu qu'aujourd'hui c'est l'euro, qui vaut ce qu'il vaut.

Les Allemands veillent au grain, enfin depuis la crise générée par les amerloquains et celle des chinetoques, plus de balais dans l'cul, faut bien cracher au bassinet, le recrutement des culs terreux de l'Est a montré ses limites.

Les culs terreux en question, comme partout ailleurs, et c'est tant mieux, ont enterré ce système à la con, même en Chine, et c'est pour dire, on ne veut plus se faire avoir.

Pour le bonheur de tous, mon cul !

Allez dire ça aux Africains

La Main Invisible au panier des ménagères du monde entier.

La propagande s'essouffle un peu, même les gros salopards, qui s'engraissent de dividendes, commencent à douter, et c'est pas rien.

Le FMI s'affole, il était temps me direz-vous, que la Bourse dévisse, alors tout le monde s'en fout, comme avec Pierre et le loup.

Les petits boursicoteurs ont morflé, mais c'est une lapalissade, quand on veut jouer dans la cour des grands, on devrait savoir à quoi s'attendre.

En attendant le Capital se porte bien, n‘en déplaise aux pauvres.

Les vœux de l'abbé Pierre ou de Coluche, pour ne citer que ces deux-là, et non des moindres, n'ont toujours pas été exaucés.

« Misère, misère ! ».

Les (soi-disant) Grands de ce monde s‘y penchent  un peu dessus (pour massacrer le grand Georges, à qui je demande pardon), les petits ont vocation à le rester n'est-ce pas ?

Mère de toutes les vertus, un domaine que je connais peu hélas, pourriez-vous mettre un peu d'ordre dans tout ce bordel ?

Pardonnez à un pauvre pécheur, illettré et inculte, de vous déranger pour si peu.

J'ai entendu dire que votre miséricorde vaut toutes les actions en Bourse, allez, juste un petit miracle, pour le plaisir de donner, y a pas grand-chose de gratuit aujourd'hui.

Si vous faites cela, demain, j'arrête de pécher, promis craché !