Lilly AdrénalYne

lanimelle

« Lilly AdrénalYne » extrait…

Tous ca n’a pas de sens, c’est un inconvénient mais je l’écrase comme un mégot.

Ma petite lilly, ma petite libellule aux ailes rouges, j’ai des élans comme des crises d’angoisses. Ca me prend quand je pense à toi, ca me prend dans le cœur de mes tripes vieilles, usées, ca me prend comme un cadeau, comme une rencontre lilly.

Tu laisses des absences se répéter comme un repeat en boucle sur un « tout est si calme » des biens aimés, comme une nostalgie de l’amour, comme des larmes qui voudraient couler sous ce nouveau ciel d’automne.

Lilly, ma petite diva inconnue, le rythmes de tes mots me balance contre un mur, contre une forteresse, je veux le code, je veux l’accès, je te veux en boucle comme celle que j’aime voir border ton visage.

Je t’avais écris des trucs pas sage, de la tendresse qui soulève les sèves, des mots qui pulvérisent l’entendement mais j’ai froissé et puis jeté ces mots d’amour sans destinée.

Mon petit cœur, j’ai des tribus dans la tête qui te vénèrent, qui sont à ta conquête, qui vont à l’assaut sans arme, juste avec l’envie qui pétille dans mes yeux quand je pense à toi, juste avec la chaleur nécessaire pour te faire vivre.

Ma petite malade, quand je t’imagine dans cet asile, je voudrai venir t’enlever, flinguer les gens en blanc qui disent que ta folie n’est pas tolérable, lilly, tes pluies de mots s’envolent et dansent jusqu’en moi, entre tes lignes je deviens un tango, une candeur intouchable.

Tu m’émeut et je te reconstruit sous ma plume, je t’alimente d’émotion curative, je te masse de la fleur de mes sels sensuels, personne n’y pourra rien.

Les liens invisibles sont les plus forts même s’ils ne s’appuient pas sur la raison.

Dimanche prochain j’ai demandé une autorisation pour venir te voir, je n’ai pas encore la réponse.

S’empilent les épisodes ou je suis face à toi, ou notre sincérité jouent comme des enfants, ou nos imaginaires se baisent jusqu’à rire et puis s’endormir dans la douceur de nos peaux de femmes.

Lilly, je serai ce soir à droite de la lune, tu sais là ou nos yeux aiment faire des vœux, dans l’immensité, dans le silence serein de nos distances qui se coucheront comme deux amants maudits.

L’animelle

px : Y pour plusieurs raisons mais je me souviens d'une belle raison d'aimer l'"Y"...merci couture pour cette émotion imprimée dans mes chairs quand j'ai vu ton "Y"

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