L'INCONNU DU TGV 261383-1

marief

L'appel urgent d'un client m'oblige à embarquer dans le premier train pour Rennes.Je prends celui que l’on me propose sans faire la difficile afin d’arriver avant la fin de journée, dans le but d’obtenir la signature d'un contrat pour un financement de projet important.
Un voyage qui démarre sous un léger stress, mais qui prendra, je l’espère, la direction d’un chemin agréable, parsemé de sublimes touches de plaisirs abondants.
Je suis dans le TGV Quimper-Paris qui comprend Rennes dans ses arrêts.
Mon billet n'ayant pas de numéro de place précise, je m'installe sur un des sièges disponibles.Je me retrouve assise, face à un inconnu plutôt élégant et charmant...Je m'en sors plutôt bien finalement.Je porte une jupe fluide, de couleur noire, assez courte et légèrement transparente, un chemisier au décolleté plongeant semi-moulant, qui compresse légèrement ma poitrine avantageuse. Le tout partiellement dissimulé sous un long manteau tout aussi noir. De longs gants satinés habillent mes bras et apportent un certain raffinement à mes mains fines.Une tenue que j'avais choisi de porter pour mon rendez-vous prévu avec Simon. J’étais à ce moment-là loin d'imager ce déplacement de dernière minute. En revanche j'étais prête pour une fin de journée avec mon amant.Je prendrais le temps de me changer une fois à l'hôtel avant cet entretien professionnel.Installée confortablement, mes yeux se figent sur ce bel inconnu, fascinés par le magnétisme qu’il dégage, je suis envoutée d’un regard…Je l’observe, lui souris, il fait de même...Avec ce long manteau que je porte, je me couvre, lui donnant l’impression de vouloirdormir, ce que tout un chacun fait dans un train en temps normal.Je lui laisse à peine le temps d'apercevoir mes cuisses légèrement entrouvertes avant de les croiser, elles sont habillées de bas et jarretelles sous cette jupe délicieuse...Nous allons échanger une heure de regards, de sourires complices et sensuels...Intimement je le soupçonne de penser à quelques fantasmes érotiques...Son imagination, ainsi que sa convoitise emportent son regard malicieux sous ma jupe, ou les jarretelles et la vue de ma petite culotte de soie noire éveillent ses sens. Le gonflement révélateur de son entre-jambe me laisse découvrir la rondeur éloquente de son sexe, compressé derrière la barrière de son jeans. Son pénis prend alors le dessus laissant son cœur loin derrière.Il gigote doucement comme pour multiplier le plaisir qui s'installe entre ses cuisses.Extérieurement rien ne transparait, en dehors de ces quelques sourires doux.Après un moment de partage et de regards langoureux, je me lève et me dirige vers les toilettes...Trente minutes se passent avant mon retour à ma place. Un sourire illumine mon visage, mon regard est pétillant, je me rassoie et m'endors...
1 heure plus tard :
Arrêt à Rennes, je me lève, je suis arrivée, à priori pas lui.Quel dommage...Je lui tends un paquet de cigarettes et lui souffle au creux de l'oreille :
« A n'ouvrir qu'après mon départ ».
Le train repart rapidement. Intrigué, il ouvre le paquet, qui laisse échapper un papier plié, qui tombe à terre. Il y retire un bout d'étoffe, un dessous féminin de fine soie!Une culotte très belle, mais aussi très humide. L’origine de l'odeur ne laisse que peu de doute, un parfum intime de femme, une essence d'amour....Il ramasse le papier et commence à lire ceci.......
« En vous regardant, j'ai ressenti un désir intense, un peu inconvenant. Je deviens vite très humide et généreuse, je fais partie de ces femmes qui sous tant de désirs deviennent... presque fontaine.J’ai senti ma jolie culotte s'imprégner, au contact de mes lèvres excitées. Monte alors en moi un besoin, une envie de me toucher, de me caresser hâtivement.Ce que j'ai fait sous mon manteau, devant vous.Oui...vous avez bien lu bel inconnu, vous n'avez rien remarqué...Alors que nous échangions d'aimables sourires, mes autres lèvres vous souriaient également. »
Il continue à lire mon petit mot doux, impatient.
« Ma main sous ma jupe caressait mon entrejambe, là où la peau est si douce.Ne pouvant plus attendre, trempée, il m'était impossible de rester comme cela une minute de plus. Je suis allée finir ma balade amoureuse entre mes grandes lèvres et mon antre au compartiment toilettes...Je me suis touchée, debout, en pensant à vous. Mes fesses étaient calées sur le lavabo, ma petite culotte rabattue sur les genoux, mes seins à l'air pointaient leur petit bout exquis bien ferme juste pour vous.Instinctivement, un doigté plus vigoureux et assez profond a participé à la montée de mon plaisir. Je vous imaginais, m’observant avec fièvre, me masturber ainsi sans pudeur.Après un moment de fouille dans mon intimité, accompagnés de petites caresses sur mes bouts durcis, de petits gémissements se firent entendre à force de me masser lascivement.Vous constaterez cette frénésie, grâce à ma petite culotte que vous tenez, j’en suis sureentre vos mains. Celle-là même que vous passez sans doute sous vos narines dilatées par les effluves qui s’en échappent… oui, ma jouissance était évidente.J'avais évidemment pris soin d'essuyer mon intimité, ainsi que mes cuisses avec cette douce soie, pour ne rien en perdre, pour vous offrir toute la primeur de ma fleur....Un joli cadeau que je vous fais là...À propos, en aimez-vous les émanations qui s’en dégagent ? J'aurais souhaité à cet instant, voir votre nez caressant cet affriolant vêtement.Je suis maintenant nue sous cette jupe si courte et rien pour me changer. Je vais donc devoir passer une partie de la journée, mon charmant fessier dépourvu de son voile protecteur.Vous êtes inévitablement un vrai gangster à minou...Mes lèvres sont encore toutes dilatées, mon intimité vous est encore offerte. Je sens dégouliner mes saveurs le long de mes cuisses. Rien que de vous écrire cela et mon imagination s'emballe, se me met à nouveau dans un état second. Je suis prête à vousaccorder la primeur de mon corps, au plus vite et sans me poser de question, en un lieu étranger, juste pour vous sentir. Je vous veux, vous et votre sexe sans doute encore bien dur et puissant. Je l’imagine me fourrer comme un chou à la crème, y lassant jaillir votre semence dont le goût m'est inconnu autant que vous.
Faites de tout ceci, ce qu'il vous plaira, dès lors que vous jouissez en pensant à moi. Je serais navrée si ce n'était pas le cas...
J'aimerais être là, face à vous, pour savourer l'expression de votre visage et la réaction de votre corps à la suite de cet échange que nous aurions pu avoir, vous et moi, dans ce compartiment toilettes.Je vous souhaite un bon voyage et vous remercie pour cet orgasme que vous m'avez offertgrâce à votre charme irrésistible.D'ailleurs ?  Dans quel état êtes-vous après cette lecture lubrique ?Je ne le saurais jamais, à moins que?
PS : Je serai dans le même wagon, la semaine prochaine, même jour, même heure....

  • Un texte pas mal du tout et qui fonctionne, bien que je le trouve relativement frustrant.
    Mention spéciale pour l'illustration.

    · Il y a environ 12 ans ·
    Francois merlin   bob sinclar

    wen

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