Litanie
shakashaka
LITANIE
Tant de larmes acides pour ta voix si placide
Pour ta chevelure brune
Ce brouillard sur ma plume
Ces sentiments éthérés qui morfondent mes pensées
Tant de rêves irréels abreuvent mon sommeil
Tant de cendriers souillés de glaires à recracher
De choses à regretter
D’espérance brisé
Quand ma part d’ombre raisonne
Un soleil noir t’assomme
Et je m’en ronge les veines
Tant je te saoule
Tant je t’aime
Et je m’en ronge les veines
Tant je te saoule
Même si le silence est aux aboies
Il me faut respecter ton choix
Peut être est ce sur cette dernière note
Que je fredonne ton souvenir
Tout un poème-) bravo, Sébastien !!!
· Il y a environ 13 ans ·Pascal Germanaud