L'oeil alarmé
catherine-rima
Elle se repose sur les barres du métro
L'oeil si clair que sa larme a rougi , l'air perdu.
Agrippée au métal
A ce destin souterrain
Aveugle à tout autre objet que celui de sa peine,
Tu bouges les lèvres, tu dis son nom, une dernière fois
Tu comptes le nombre de jours, les surnoms,
Puis plus rien, tu amènes ta main à ta bouche, plus rien
Le vide dans ton ventre, un haut-le -coeur,
Les portes s'ouvrent, arrêt Nation.
Mais quel est ce destin.... A lire, une suite de votre plume ?
· Il y a plus de 9 ans ·Alice Gauguin