Mes petits commentaires (pour le numéro, j'en appelle à ceux qui me suivent encore).

Christophe Hulé

Et Dieu sait si mes fallawarzes sont nombreux, j’ai monté une start up pour répondre au courrier de mes fans. Il a fallu envoyer des observateurs chez le Père Noël.

Une bien jolie vue et que de sensations exacerbées, un bien joli texte, bravo! (avec Émilie Gaillard, que je découvre avec plaisir et non sans une jalousie qui m'étreint!!!).


Énigmatique, cela ressemble à des pensées heureuses enrobées de tristesse et de désillusions. Très fort! (Émilie toujours, et ça m'énerve de plus en plus!).


Une belle métaphore, un voyage mouvementé et sous le signe de l'espoir.

Peu se soucient aujourd'hui des cendres des aïeux, autrefois on les vénérait comme le trésor qu'elle représentent, nos valeurs, nos racines. Très beau texte! (Devinez qui ? Là c'est trop, je me mets au bricolage!).

De la poésie pure et douce, une belle leçon de bonheur que l'on se donne la peine de raviver, un cœur qui bat bon gré mal gré.J'adore vos textes. (Bon OK, c'est pas mal, avec le recul je me dis que je vais quand même continuer mes gribouillages, j'ai récupéré le stylo dans la corbeille, c'est une image car je tape (sur) mes textes.).

Quand je rencontre des gens gentils, je me dis qu'il y a forcément anguille sous roche.Si ce n'est pas vrai (ce qui est rarement le cas), je me dis qu'ils viennent d'une autre planète pour adoucir un peu la jungle ambiante.Encore une jolie liste de petits bonheurs, je vois que tu vas mieux. (Avec ma Muse, si vous vous rappeler plus, y a qu'à me lire ou me relire, Didjou, dirait qui vous savez, ça fait deux énigmes pour le prix d'une!).

Les oreilles qui ne cessent de pousser sont un signe de sagesse, on finit par ressembler à Boudha! (avec l'illustre HL qui s'est converti à l'écologie).

On se demande lequel des deux a le plus mal! … Si les premières ont retrouvé leur usage, je pencherais pour le cœur brisé, car c'est pour la vie entière. ( Sur deux des vers du génial François, pas Villon, bof, mais Ville. Je cite :Elle a cassé les couilles/Il a brisé son cœur).

Il faudrait ressortir les vieux bouquins de recettes de substitution au temps du rationnement, ma grand-mère en avait un. (avec ma Muse, voir les commentaires ci-dessus).

Ceux qui jamais ne penseraient à faire souffrir sont des proies idéales. Celui qui fait souffrir l'autre est en guerre avec sa propre existence. C'est la rage de la jalousie en quelque sorte.(Avec F.A., je ne donne exprès que les initiales pour vous inviter à lire ses textes).

Les traumatismes restent un mystère, même à six mois, ce que le bébé a vu sans avoir les mots pour le dire.J'adore ce poème en apparence décousu, l'impuissance de l'adulte et des soi-disant spécialistes. (avec la même auteure, dont j'ai découvert avec plaisir le site).


Comme je vais dépasser les canons imposés, je vous donne rendez-vous pour la deuxième partie euh … un peu plus tard (Higelin).

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