Mon père

Leo Bodot

La joie appartient à la respiration tendre, les souffles influents la lueur de notre transpiration que nos fleurs assouvissent.

Sur les layons que nous traversons la péripétie de nos rires se transforme en bienveillance. Les mélodies de notre complicité se décalent au son d'une suavité qu'entament les allées de supplice.

Nous buvons à la santé du passé, du présent, et du futur que nous ne pouvons échapper. Je t'aime et je t'aimerais à l'infinité des voutes célestes....

A la poésie, à l'amour, à la musique et à la santé des feux.

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