Nathanaël

slive

                Cerne plagiait par une famille inexistante, des lèvres oubliaient entre les cuisses de quelques femmes et à la place de mon cœur, un trou littéral qui ne demande qu’à prendre la poussière.

Des rues sans finalités qui ont perdue la foi et des balayeurs d’adolescents qui s’amusent à pleurer les cœurs brisés, moi qui marche et qui aspire à respirer un oxygène perdu dans des notes de piano.

Une chambre froide au fond de se village, une exaspération total d’une vie. Des troupes armé qui me dépassent sans penser à me regarder.

Un fantôme de plus, un fantôme de la nuit. Un enfant du spleen et de la mélancolie, qui n’a comme seul ami des hallucinations qui s’amusent à embrasser ses pieds.

Assis dans un restaurant bien trop connu à mon esprit, j’attends bleue en écoutant la pluie. Son arrivait ne changea rien au temps, son air fatigué, son trou dans la poitrine, plus propre que le mien, jauge son jumeau en aspirant qu’à une fusion.

Je lui explique « femme, je t’aime, n’en crois pas un mot. Femme, spleen, hallucination et fantasme de ma conscience n’oublie pas que je suis jamais seul. La solitude personnifié par mon âge douloureux n’aspire qu’à te volé des baisés. Un ou deux, en te donnant la main. Bleue, tu me manque et ton piano aussi. »

Elle se leva sans penser, elle se leva obligé par ses jambes. Son corps, mise à part se dernier, tombé en arrière comme si ses os n’existaient plus. Je la pris dans mes bras, collant mon néant au siens et resta là jusqu’à ce que le monde dans lequel je l’ai amené finisse par nous tué de fatigué.

  • Le texte est fort, mais attention: trop de coquilles ou de faute hachent la lecture!
    J'aime beaucoup cette façon d'être comme à côté de soi-même et de la vie qui passe.
    Oui! Une mélancolie fantôme.

    · Il y a environ 11 ans ·
    Un inconnu v%c3%aatu de noir qui me ressemblait comme un fr%c3%a8re

    Frédéric Clément

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