Nostalgie d'un paysage.

disarmonia

Manque de vie, mon âme n'est plus qu'ombre d'elle-même.

Souviens-toi de ce que nous partagions, des éclats de rire.

Je dis " Au revoir. " au passé, il se glisse dans mon sternum.

La vie est un long chemin que je remplie de mes soupirs.


Puis, fascinée par l'amertume qui te meurtrie,

De ta personne, sans cesse, je me languie.


Dans une forêt à l'affût d'une beauté pleine de mistral,

Ma peine se languie de cette interminable action.

Je me dévoile dans les feuilles de ce chêne magistrale

Que m'offre cette nature propice à mon exhibition.


Se transforme ce merveilleux cadre de vie,

Nous voilà au fond de l'océan, je sourie.


Ombres marines nous faisant découvrir l'effroyable,

Je compare ma vie à mes sentiments du moment.

Je souhaiterais somnoler, là, sous un érable.

Ne t'envole pas, je ne veux que toi pour présent.


Enfin, je comprends que la vie n'est que fourberie.

Sache que je ne pourrais te laisser filer dans la furie.

Signaler ce texte