Pas de Q pour Marie-Cul

dwakain

Synopsis

L'US Air Force a perdu un chasseur au-dessus du Kurdistan.Deux jours plus tard, un groupuscule jusqu’alors inconnu, les Loups Blancs, envoie une vidéo du pilote en vie à l’ambassade américaine en Turquie. Ils exigent une rançon de 25 millions de dollars sans autre revendication, ni message à caractère politique. Un rapide tour des services de renseignement alliés n’apporte aucune information supplémentaire à la CIA.

L’agent Q est donc envoyé sur place avec une équipe réduite à quelques hommes d’élite. Leur mission consiste à localiser les otages et leurs ravisseurs, à déterminer s’il s’agit d’un groupe à visées politiques ou simplement mafieux, à commencer des négociations pour les modalités de remise de l’argent, et si l’occasion se présente d’extraire les deux otages au plus vite sans rien payer. Malheureusement, 36 heures après leur arrivée à Istanbul, personne n'a plus entendu parler de Q et ses hommes.

Tous ses agents d'expérience étant occupés sur d’autres opérations, la CIA doit parer au plus pressé. Il est donc décidé de lancer dans le grand bain un jeune agent, Marie-Lucie Quesney, alias Marie-Cul. Officiellement cantatrice, elle présente le double avantage d’être présente à Istanbul pour un récital et de parler couramment plusieurs langues de la région.

Au consulat, Marie-Cul rencontre l'attaché culturel, Sam Bowman. Ne sachant qu'il est le responsable local de l'agence, elle use de ses charmes pour tenter d'obtenir le financement de divers projets musicaux. Il se laisse volontiers sucer avant de révéler la vraie raison de cet entretien. Il lui explique que Q a fait ses premières armes durant la guerre froide, et qu'il s'agit d'un homme d'expérience. Il n'a jamais laissé ses supérieurs sans nouvelles pendant plus de 24 heures. D'autant qu'ils ont reçu un ultimatum des Loups Blancs leur laissant 3 jours pour verser la rançon sur un compte au Costa Rica, en dépit de quoi le pilote serait décapité.

Marie-Cul commence par fouiller de fond en comble les chambres d'hôtel de l'équipe de Q. Aucune trace quelle qu'elle soit, au point de se demander s'ils sont passés par là. À l'accueil, on lui confirme pourtant leur venue, mais personne n'est capable de lui donner plus d'informations. Toutefois, on lui révèle qu'un appel a été fait à un hammam des bas quartiers. Sam lui confirme la qualité du lieu, et doute que Q y soit allé pour autre chose que les bains. Marie-Cul décide d'y faire un tour, autant par curiosité que pour s'assurer que cela n'a rien à voir avec l'affaire qui la concerne.

Profitant des bienfaits du hammam, Marie-Cul fait la connaissance d'Onur, agent Turc, qui la suit depuis le consulat. La situation et l'ambiance du lieu étant propices, il la baise avant de lui révéler qu'on a beaucoup entendu parler anglais depuis quelques jours dans un hangar des docks. Entrés par effraction, ils y découvrent un camion rempli de caisses ainsi qu'un certain nombre d'indices qui indiquent que la vidéo du pilote a été tournée là.

Ils manquent se faire surprendre par deux hommes. Ils arrivent à se débarrasser de l'un d'eux, mais l'autre les repère et blesse Onur. Marie-Cul arrive cependant à le neutraliser. Elle découvre sur lui un plan d'accès d'un QG, ainsi que des instruction précises quant à ce qu'il doit faire du camion et du hangar. Onur ne pouvant l'accompagner dans son état, elle se fait conduire au QG par le survivant. Elle lui place un garrot autour du sexe, de sorte qu'il lui suffit de tirer dessus pour l'émasculer. La route, longue, les mène dans une vallée encaissée.

Obnubilée par la vue d'un F16 en parfait état en bout d'une piste de fortune, elle réalise trop tard qu'on l'a menée directement au centre du fameux QG. Il s'agit d'un campement où des hommes en treillis attendent le camion. Elle tire sur le garrot, mais se retrouve prisonnière de la troupe. On la mène devant le commandant : c'est Q. Après un échange d'amabilités, elle comprend qu'il a monté cette affaire pour financer sa retraite. Q réalise que son plan est foutu et donne Marie-Cul en pâture à sa troupe, trop heureuse de pouvoir venger la mort de ses compagnons. Marie-Cul ne doit son salut qu'à l'arrivée d'une troupe turque envoyée sur indication d'Onur. En revanche, aucune trace de Q.

Scène sexe

Allongée sur une serviette posée en travers de la pierre centrale, Marie-Cul se rêvait sultane tandis qu’on lui frottait la peau. La femme de bain ne laissa rien au hasard, faisant subir le courroux de son gant à l’ensemble de son corps. Vint ensuite le lavage à grandes eaux et au savon noir. Puis elle fut menée dans un salon privé où se mêlaient, dans une atmosphère tamisée, des arômes de miel et de citron. La tellak lui enduisit le mollet d’un mélange parfumé, puis colla une bandelette qu’elle ôta d’une geste sec. La douleur fut vive mais la masseuse s’empressa d’atténuer la douleur en y apposant un doigt. Quant aux résidus de cire, elle les ôta d’un délicat coup de langue.

Le procédé se reproduisit de bas en haut, atteignant enfin l’entrejambe. Les gestes se firent alors plus délicats, et Marie-Cul se cambra pour offrir sa croupe à l’expertise de la masseuse, qui s'exécuta. Qu'il était bon de sentir cette langue humide et chaude se glisser sur le pourtour de son second prénom. Sa propre main se dirigea vess son clitoris. Le plaisir montait en elle, le mouvement de ses doigts sur son bouton prenant le rythme des coups de langue lappant son anus. Le tempo s’accéléra, et alors que la décharge prit son corps entier, elle sentit les doigts huilés entrer dans sa chatte. Elle se retourna vers la tellak :
“Par pitié, il me faut une queue...
–Madame préfère un homme ?
–Un homme, un eunuque, un travelo... N’importe quoi, tant qu’il me la met au fond !”

À peine la masseuse sortie, il fit son entrée, nu, le sexe pointant fièrement le plafond. Elle le reconnut aussitôt : c’était le pouilleux qui faisait le pied de grue devant le consulat. La situation le mettait bien plus en valeur : ses muscles saillants luisaient dans la moiteur de la lumière tamisée. Elle posa ses pieds au sol et prit appui sur la table de massage. Il se colla dans son dos, le sexe contre ses fesses rebondies.
“J’ai des choses à vous dire”, lui glissa-t-il à l’oreille.
–Baise-moi d’abord”, lui répondit-elle en écartant ses jambes tendues.

Elle prit son sexe et dirigea le gland vers ses lèvres. Il donna un coup de rein brutal qui la pénétra profondément tant elle mouillait. La surprise lui fit relever le buste. Aussitôt, il lui prit les seins de ses mains fermes, et lui titilla les tétons au rythme de ses allées et venues en elle. Sa respiration se faisait plus rauque à mesure qu’il accélérait. Elle voulut se retourner, mais il l’en empêcha, et la fit se pencher sur la table. Il la forçait à rester contre la table. Elle se sentait à sa merci, tant elle prenait son pied, lâchant prise. Elle lui criait de continuer, d'y aller plus fort, et lui accélérait encore et encore. Elle sentit son corps entier se contracter tandis que lui comprima les fesses dans ses mains avant de lâcher un râle qu'elle ressentit jusqu'au fond de sa chatte.

Scène Action

Onur fit se baisser Marie-Cul : la lumière du hangar s'était allumée et deux hommes venaient de faire leur entrée. Onur sortit un couteau de sa poche, et fit signe à Marie-Cul de rester planquée derrière une caisse du camion. Il descendit du camion le plus discrètement possible, et se faufila entre les caisses de l'entrepôt. Marie-Cul, de son côté, prit un des fusils d'assaut qu'ils avaient découverts dans les caisses, et se posta juste derrière le siège du conducteur. Elle prit un chargeur, et engagea la culasse le plus discrètement possible. Depuis son poste d'observation, elle put voir qu'Onur s'approchait du premier homme par l'arrière. D'un geste vif, il lui souleva la tête par le visage, et l'égorgea de gauche à droite. L'homme tenta de se débattre, mais Onur avait agit en professionnel, et l'air et le sang se vidèrent conjointement par la nouvelle ouverture. La lutte fut brève.
Excitée par la situation, Marie-Cul ne put s'empêcher d'appuyer sur la gâchette de son arme, qui tira une petite rafale sonore.
"Mike ? C'est toi ?" Le second homme sortit alors un revolver, et Marie-Cul le perdit de son champs de vision bien avant de tenter de le viser. Onur, quant à lui, se précipita derrière un amoncellement de bric-à-brac. Marie-Cul sentit la tension monter. La rafale avait résonné dans tout le hangar, il serait difficile de la localiser avec précision, mais elle n'avais pas été formée pour ce type de situations. Elle regarda à nouveau par l'avant du camion, et vit qu'Onur était dans la ligne de mire du survivant.
"Onur ! Attention !"
La volte-face d'Onur et la surprise de l'assaillant firent que la balle de revolver n'atteint que la cuisse d'Onur. Marie-Cul tira une rafale dans la direction de l'ennemi, qui se protégea derrière une caisse. Marie-Cul continua de tirer pour permettre à son ami de se traîner dans un lieu plus sûr. En revanche, l'homme armé avait disparu. Marie-Cul descendit du camion et se dirigea vers Onur en prenant toutes ses précautions, le fusil pointé sur elle. Soudain, une masse énorme s'abattit sur elle. Elle tenta de tirer, mais le fusil s'enraya aussitôt. Il la tenait entre ses mains puissantes, comprimant sa trachée et sa jugulaire, comme pour mieux venger son acolyte. Un réflexe de survie la prit subitement, et son talon droit se souleva d'un coup sec vers l'arrière. En même temps qu'elle sentit les testicules s'écraser sous la puissance du coup, l'étreinte se relâcha. Elle en profita pour se dégager, se retourna, et enchaîna d'un coup de genou au même endroit, puis releva la tête de son assaillant d'un uppercut dans le menton, et finit sa besogne en lui plantant deux doigts magnifiquement manucurés dans les yeux. Il s'écroula au sol, en position foetale, criant de douleur. Voulant s'assurer qu'elle ne risquerait plus rien, elle enchaîna quelques coups de pieds dans le foie et la tête, jusqu'à ce qu'Onur la retienne.
"Laisse-le, on pourra peut-être lui soutirer quelques informations."

Description

Marie-Cul, née Marie-Lucie Quesney à New York d’un père belge et d’une mère américaine, est une femme de 28 ans. Blonde, pulpeuse, ses traits ont souvent été comparés à ceux d’une actrice pornographique connue pour avoir mis en danger l’industrie en tournant la quasi totalité de ses films avant sa majorité. Hautaine, arrogante, voire pédante avec ceux en qui elle ne voit pas à quoi ils pourraient lui servir, elle sait se rendre affable, séduisante, voire entreprenante avec toute personne dont elle sent qu’elle peut tirer un quelconque avantage.

Très vite, elle découvre que ses charmes peuvent aisément se monnayer, et mène grand train en se faisant entretenir par quelques diplomates à Bruxelles, où elle poursuit des études à la fois de chant et de langues orientales. Un de ses enseignants d’arabe, avec qui elle a une liaison, lui fait la proposition suivante : plutôt que de faire l’escort, elle pourrait continuer à profiter du même train de vie avec quelques garanties supplémentaires en intégrant la CIA, dont il est un honorable correspondant.

Elle refuse l’offre dans un premier temps, mais au cours d’une partie fine avec quelques diplomates de divers pays, elle apprend subrepticement que son amant de la CIA est la cible d’un contrat. Elle ne parviendra pas à le prévenir à temps. Plusieurs semaines plus tard, un homme la contacte, se faisant passer pour un impresario pouvant faire décoller sa carrière lyrique. Lors de l’entretien, il lui révèle qu’il travaille à la CIA, et que la proposition tient toujours. Elle accepte, à condition de pouvoir s’occuper personnellement des meurtriers de son amant, le jour où on aura mis la main dessus.

Au cours de sa formation à Langley, on lui explique qu’elle restera éloignée des missions de terrain, réservées aux hommes de formation militaire. On la cantonnera aux missions diplomatiques, tentant de soutirer des confidences sur l’oreiller ou au cours des cocktails auxquels sont généralement conviées les personnalités culturelles dont la CIA fera en sorte qu’elle fasse partie au plus vite.

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