Organes pervers

padocq

Personnage

Une jeune femme d’origine arabe, diplomate, a intégré une section spéciale (DH) rattachée au secrétariat des droits de l’homme en France. Cette section a vue le jour avec le secrétariat des droits de l’homme en 2007 et dépendait de la secrétaire d’état Jade Cissé, belle femme noire de 30 ans promise à une belle carrière politique. Quelques années après sa création, la section est cependant dissoute suite aux pressions constantes du ministre des affaires étrangères qui n’a jamais vu d’un bon œil le secrétariat d’état et encore moins la section DH. Les éléments de la section DH ont ensuite été envoyés à la DGSE. Bien que le secrétariat des droits de l’homme n’existe plus, les anciens agents restent disponibles pour des missions relevant des droits de l’homme ou des crimes contre l’humanité. L’ancien secrétaire d’état qui occupe d’autres fonctions, suit toujours le devenir de ses anciens agents, et plus particulièrement, l’agent Maria Ker.  

Maria Ker est une belle femme de 28 ans. Elle est française, née en France d’un père Allemand et d’une mère palestinienne. Ce métissage se reflète sur son physique : elle est grande (1m81), brune et a la peau mate. Elle regrette de ne pas avoir de seins plus gros; elle a pourtant des seins en poire qui attirent le regard des hommes et de femmes. Pratiquant le jogging tous les matins, elle possède des fesses fermes et rebondies révélées par de belles hanches. Sexuellement, elle est bisexuelle avec une préférence pour les femmes. Elle est particulièrement attirée par les femmes à forte poitrine. L’amour, le vrai, elle ne le connaît pas. Elle profite de chaque occasion pour laisser parler ses désirs et vivre de multiples expériences. Cependant, elle cache secrètement en elle son attirance pour son ancienne secrétaire d’état.

Synopsis :

Vol Tel-Aviv-New-York, un homme est pris d’un malaise qui nécessite un atterrissage d’urgence sur l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle. L’homme meurt quelques heures plus tard dans un hôpital parisien. Les médecins s’aperçoivent rapidement que l’homme venait de subir une transplantation rénale. Cependant, on ne trouve trace de cette transplantation nulle part en Israël où il est vraisemblable qu’elle ait eu lieu. On suspecte alors une organisation criminelle à l’origine de cette transplantation. L’homme décédé était un riche homme d’affaires américain qui était depuis des années en attente de la transplantation d'un rein. Il a surement fait appel à des filières clandestines pour obtenir son rein. Des réseaux prenant racine dans les pays de l’est, et plus précisément en ex-Yougoslavie, voit leur ramification s’étendre jusqu’en Israël en passant par la Turquie.

L’agent Maria Ker de la DGSE, rattachée à la section des crimes contre l’humanité, est convoqué pour enquêter sur cette filière présumée de trafic et de transplantation d’organes. L’objectif est de mettre au jour cette filière mais surtout de découvrir d’où proviennent les organes que l’on transplante ainsi. On imagine facilement que les organes sont prélevés sur des personnes les monnayant ou pire sur des victimes assassinées. La mission de Maria Ker débutera en Israël, à Tel-Aviv d’où provenait le passager décédé. Maria Ker est diplomate comme tous les agents de la section DH; elle logera donc au consulat de France. Sa mission débutera par une prise de contact avec un homme d’affaires. L’américain mort à Paris des suites de la transplantation rénale a séjourné dans un des hôtels de l’israélien. De plus, celui-ci subventionne la construction d’hôpitaux en Cisjordanie dans lesquels pourraient être pratiquées les transplantations. Maria profitera d’une soirée organisée par cet homme et sa femme pour nouer un contact avec eux. Elle gagnera leur confiance après une nuit sexuelle avec le couple. Son enquête la mènera à un hôpital aux environs de Bethleem. Puis elle remarquera une photo du couple en compagnie d’un homme posant devant une villa luxueuse. Cet homme sera identifié : il s’agit d’un docteur turc recherché par Interpol et qui a été déjà condamné pour des opérations de transplantation illégales. L’enquête de Maria Ker la portera en Turquie à la recherche de ce médecin. En le retrouvant, elle parviendra à identifier des cliniques secrètes, au Kosovo notamment, d’où proviennent les organes transplantés. Au Kosovo, elle sera confronter à l’horreur et la barbarie des réseaux mafieux qui enlèvent et assassinent des personnes choisies pour leurs organes. Sa mission prendra une tournure bien particulière car les réseaux mafieux ont de fortes connections avec le pouvoir en place. Or ce pouvoir a été supporté par l’actuel ministre des affaires étrangères. Bien sûr, le ministre n’est pas impliqué dans le trafic d’organes, mais il a peur d’être éclaboussé par ses anciennes relations au Kosovo. Il cherchera à freiner Maria Ker dans son enquête. Cette intervention du ministre compromettra en partie la mission de Maria Ker qui trouvera cependant un moyen de se venger.

Scène d’action :

Le jour commençait à disparaître. Le paysage rocailleux semblait tel un brasier rougeoyant sous les rayons obliques du soleil qui s’essoufflaient petit à petit comme sous le manque d’oxygène. La route était déserte; l’asphalte était lisse. La BMW filait sans retenue ou presque; seuls les nombreux virages forçait Maria Ker à ralentir. Le ciel s’obscurcissait de plus en plus rapidement. Maria allait mettre ses phares quand une ombre en mouvement attira son regard dans le rétroviseur. Cela fut bref et disparut derrière une courbe de la route deux cents mètres derrière la BMW. Maria ralentit instinctivement pour observer derrière elle. L’ombre réapparut soudain et se rapprochait rapidement. C’était une grosse cylindrée qui roulait tout feu éteint. Il faisait pourtant presque nuit désormais. Maria appuya à nouveau sur l’accélérateur, fit crier la quatrième et passa à pleine vitesse la cinquième. Elle était suivie. Malgré sa vitesse excessive, proche de 180 km/h, la voiture sombre derrière elle semblait sans cesse mordre, menaçante, l’espace qui les séparait. Un éclair, ou plutôt une multitude de flashs stroboscopiques se reflétèrent soudainement dans le rétroviseur. Suivis d’un vacarme assourdissant. La vitre arrière éclata. Maria fit une embardée, mais réussit à rétablir la course de la voiture. Elle appuya frénétiquement sur la pédale d’accélération. Son cœur cognait contre sa poitrine, sa respiration était saccadée. Elle pensa à la mort, brièvement, mais son esprit fut vite accaparé par le terrible virage qui s’annonçait devant elle par de répétitifs panneaux de signalisation. Un virage à presque 180 degrés. On ne distinguait pas la route après celui-ci, cachée par un monticule rocheux sur lequel poussaient inexplicablement quelques arbres. Maria sut en un instant ce qu’elle allait faire. Elle accéléra à nouveau pour mettre le plus de distance possible entre les deux voitures; jusqu’au dernier moment elle maintint une vitesse folle puis fit crisser les pneus dans un bruit effrayant. Il ne devait plus rester beaucoup de gomme aux pneus. La voiture aborda le virage en dérapant noyant la route sous un nuage de poussière.

Les poursuivants ne semblèrent pas perturbés par le manque de visibilité. Ils abordèrent la courbe à pleine vitesse avec beaucoup d’assurance. Ils semblaient connaître parfaitement la route. Leur voiture ressortait déjà quand le conducteur et son passager virent la BMW stoppée, en travers de la route, vingt mètres devant eux. Le conducteur tétanisé par l’effet de surprise ne put éviter la collision. Un bruit fracassant s’éleva dans ce désert de roches. La voiture des mystérieux poursuivants éventra littéralement la BMW, se broyant elle-même sous l’impact. Maria, cachée derrière un gros rocher, attendit que le silence reprenne son droit dans cette nature désertique. Une fumée acre s’élevait de l’amas de tôle, jonchant désormais la route. Maria s’approcha, son glock à la main, de ce qu’il restait de la grosse berline noire. Un homme gisait en sang, la tête affalée sur le volant, les yeux révulsés. Il était mort sur le coup. La place du passager était vide; le pare-brise était béant. Maria regarda au devant et découvrit un corps étendu sur la route. Maria le rejoignit, le tenant en joue. L’homme, gémissait, il était encore en vie. Enfin plus pour longtemps à la vue de son état. Un pistolet mitrailleur gisait au sol; l’arme préféré des israéliens. « Oh! Mon Dieu ! », s’entendit dire la jeune femme. L’homme allongé devant Maria n’était autre que Jacob. Jacob, le bel infirmier, qui deux heures plus tôt l’avait prise dans un recoin de l’hôpital. Elle sentait encore la chaleur de son sexe en elle. Elle pointa son arme vers le corps disloqué qui n’avait de vivant que la respiration sifflante qui s’échappait de ses poumons. Elle tira dans la tête, une fois. Pour abréger les souffrances de l’homme mais aussi pour envoyer un message aux personnes qui avaient essayé de l’éliminer. Après quelques minutes de silence, elle regarda autour d’elle. Noir et vide. Elle avait une longue marche devant elle…

Scène érotique :

La réception donnée par le couple Sheer avait était fastueuse. Les invités avaient presque tous quitté Elle seule semblait rester. Au cours de la soirée, Maria s’était placée derrière le buffet. Dans cette position, elle pouvait à loisir observer la salle de réception et les divers invités. C’était une soirée très conventionnelle. Maria s’attarda sur une jeune femme qui parlait avec ferveur; c’était une belle brune dans une robe légère. Ce qui retenait surtout l’attention de Maria, c’était la poitrine généreuse de la jeune femme qui paraissait totalement libre sous la robe. Au moindre mouvement de la belle brune, ses seins ballotaient sous le tissu. C’était très sensuel et très excitant. Comme l’homme en face d’elle pouvait-il rester de marbre ainsi ?, pensa Maria. Elle était dans cette état contemplatif quand elle sentit une présence à ses coté. Un bras frôla le sien. Maria tourna la tête. La maîtresse de maison lui souriait. Maria vit ses jolis yeux rieurs. Maria lui rendit son sourire puis ne put empêcher son regard de descendre vers l’imposante poitrine de Mme Sheer. Imposante était un faible mot, elle paraissait énorme comprimée ainsi dans la robe légère qu’elle portait. Maria sentit son cœur battre plus rapidement. Elle ressentit également la chaleur caractéristique du désir dans son bas-ventre. Son sexe s’humidifia. Mme Sheer complimenta Maria sur sa tenue, vanta sa beauté. Elle lui proposa de passer la nuit dans leur demeure étant donné qu’elle ne pourrait rejoindre le consulat de France facilement à cette heure tardive. Tout en parlant, Mme Sheer avait insinué une main entre les cuisses de Maria. Elle caressait la peau douce sous la robe de la jeune femme. Un doigt franchit même la mince barrière de la culotte en coton et pénétra légèrement le sexe de Maria. Celle-ci crut que cela se passait au vu et au su de tous. Mais heureusement, l’israélienne agissait avec une étonnante discrétion. Maria accepta son invitation.

Les invités partis, un domestique lui indiqua que le couple l’attendait dans un salon à l’étage. Maria trouva facilement, la porte était ouverte. Mme Sheer était agenouillée à terre devant un vaste canapé, le sexe de son mari dans la bouche. Celui-ci était confortablement assis. Son sexe était déjà bien bandé et dur, luisant de la salive de sa femme. Après plusieurs va-et-vient buccaux, Mme Sheer se tourna vers Maria, avec toujours ce même sourire moqueur comme invitation à les rejoindre. Maria rejoignit lentement le couple. Mme Sheer s’écarta. Maria s’agenouilla et pris le sexe du riche israélien dans sa bouche. Le sexe était gonflé et d’une bonne taille, il emplissait totalement sa bouche et pénétrait sa gorge. Mme Sheer la regardait sucer ainsi son mari sans la toucher mais Maria sentait sons souffle parfumé. Maria se releva, remonta sa robe courte, enjamba l’homme dos à lui, écarta les jambes et commença une lente descente sur le sexe dressé. Elle le fit pénétrer lentement en elle, arrachant un gémissement à l’israélien. Mme Sheer avait rompu sa passivité. Elle dégrafait la chemise de Maria et se mit à caresser ses jolis seins. Les deux femmes s’embrassaient, laissant s’aventurer leurs mains sur le corps de l’autre. Mme Sheer était encore vêtue de sa robe légère, mais Maria n’avait qu’une chose en tête : libérer l’énorme poitrine. Elle voulait voir cette poitrine libre, voir le mariage du corps mince avec de si imposants seins. Maria déchira presque la robe et les seins se libérèrent violemment. Ils se balançaient magnifiquement; ils étaient pleins. Maria les lécha frénétiquement. Puis elle se releva, fit face à l’homme et reprit en elle son sexe engageant de lents va-et-vient. Elle sentit la bouche humide de Mme Sheer baiser son dos, puis descendre progressivement. Maria se pencha vers l’homme exposant ainsi ses fesses à sa femme. La langue de Mme Sheer trouva son anus, et s’y attarda, le lubrifiant de salive. Maria respirait bruyamment au bord de la jouissance. Un doigt fin perça soudain son anus et s’inséra dans son rectum. Maria jouit instantanément et sentit l’homme se répandre également en elle tandis que le doigt de Mme Sheer continuait de s’activer entre ses reins. Maria sombra.

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