Paul.

Bonjour Louise.

Enfin bonjour est un bien grand mot aujourd'hui je crois. J'ai passe une journée bien pourrie. Je sais que tu n'as aucunement l'intention de me raconter la tienne. Mais ça ne fait rien. 

Je peux toujours te parler de la mienne. Jean c'est venté toute la journée du concours qu'il a gagner a la peche, je déteste la peche. Le patron n'a fait que de hurler sur tout le monde. Pour tout et n'importe quoi. Je me suis brûlé avec le café et me suis entaillé avec une feuille de papier du journal. 

J'ai marcher dans une flaque d'eau et j'ai saloper mon Jean neuf, fait un trou dans ma chemise préférée, j'ai appris que mon prêt a était refuser par la banque. Mon patron ne peut m'augmenter.  Les gens dans la rue étaient tellement pressé que je me suis fait bousculé une bonne dizaine de fois. Sans parler du fait que j'ai failli me faire percuter par une voiture au moins quatre fois. 

Eh oui, quelle journée. Au supermarché il n'avait plus les sandwichs que je mange et tu me connais , je n'aime pas trop changer mes habitudes. Alors je n'ai pas manager. Je t'avouerai mourir de faim. Bordel je crève la dalle. Quedal dans ce putain de frigo. 

Désolé si je suis irrité. Quelle journée. Pardon si je parle beaucoup. Je crois qu'on peut dire que je parle pour deux.