Pensées Obscènes.

rouquine

Ton corps se tortillant

Sous mes assauts.

Tes yeux deviennent brillants

À mes doux mots

Qu’à ton oreille je susurre.

Que j’aime tes morsures

Qui dans mon cou laissent des marques,

Témoins de nos ébats auxquels on vaque.

Te voir te crisper sous mes caresses…

Je connais toutes tes faiblesses.

Ma douce, que j’aime quand tu gémis

Quand entre tes hanches enfin je jouis.

Je jouis de te voir si belle, soumise,

Je frémis quand tu lâches prise

Vas y, laisse-toi aller

À des débauches interdites !

Fais moi rêver

Avec tes airs angéliques ! 

Effleure moi du bout de tes lèvres

Fais moi bouillir de plaisir

Au point que l’impudicité me crève.

Au point de mourir de désir

Pour toi, ma princesse,

Qui hante mes rêves de tendresse et d’ivresse.

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