Précarité pour tous.

Christophe Hulé

L'ire des Dieux ne vaut pas un fromage, vu que personne de nos jours ne mord à l'hameçon.

L'anti gaspi ne s'applique pas aux adeptes de Bouddha, comme autrefois les Pharaons, pour les produits, il y a prescription, ou péremption.

Un temps, on pouvait entourer le défunt de toute la belle famille, femme et enfants, on était bien heureux de n'être que cousin ou cousine.

C'est un peu comme Poutine, comme je l'ai dit ailleurs, qui n'a aucune intention de crever seul.

Je soupçonne les gardiens du temple de s'offrir des gueuletons, et  alors « c'est pas si bête » (Jonasz).

Les masses préfèrent se ruiner pour des cierges, quitte à crever de faim.

Pour qui ne croit en rien, comme moi, il y a de quoi rester dubitatif.

Suis-je damné pour préférer une vidéo porno à la cilice ?

Chacun son trip, n'est-il pas ?

Ces jeunes devraient faire un petit job, et progresser peut-être, car les opportunités vont et viennent, au rythme du marché.

Quel rapport me direz-vous, s'il vous vient l'envie de dire quelque chose.

Ben aucun, ou peut-être si, faut voir.

On enduit d'erreur (Coluche) la masse, pour amasser des biftons, l'Éducation Nationale aurait dû faire barrage, que nenni !

Mais l'école n'y est pour rien, même si ces abrutis de parvenus indépendants vous démontreront le contraire, avec des discours de bistrot, jusqu'à ce que leur enfant tombe malade, ou eux-mêmes, ou la Trésorerie, enfin tout accident de la vie, qui n'épargne personne, encore une évidence qu'il faut rappeler.

Ces connards n'ont pas compris l'idée vielle comme le monde : diviser pour régner.

Si le Gouvernement nivelle par le bas, c'est qu'il a su préparer le terrain.

Précarité pour tous, je ne veux voir qu'une tête !

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