Pression

narolf

En nage, l'horreur de plonger les mains dans les visceres, la gorge serrée et typans craquants, nausées abondent et puis il y a cette musique lancinante qui tourne qui  sort de nulle part,  ça oppresse. Sur le tissus les aureoles sechent à vu d'oeil, elles fuient , il faudrait en faire autant mais non, on reste là, assis à la terrasse des beaux bars, on joue de la musique ou plutot la musique, on pourrait meme ecrire des poemes. Agglutinés dans le sablier on patiente alors que les hypothéses s'entassent et se croisent, on glisse doucement avec quelques grammes et quelques litres pour savon c'est drole, c'est demontrer que les meilleures constructions parasismiques sont les tas de gravas comme un coup de talon sur le fond on feind le controle. Remontre nous les jardins merveilleux dont on se fout eperdument . On voulais juste s'amuser dans les recoins et à l'occasion faire tourner les têtes finalement on degueule. Les strates se superposent propres mais fetides on s'encourage, on s'aveugle pour ralentir et  y croire. Rien de grave.

Signaler ce texte