C'est peut être un peu prétentieux de ma part mais j'écrirais pour faire plus lapidaire et surtout encore plus percutant : "Ici les enfants courent et tombent. A dix ans, on rêve d'avenir. La-bas ils courent droit dans leurs tombes. Il n'y a pas d'âge pour mourir". Merci
Chaque point de vue est intéressant, dans mon esprit les enfants du Sahel courent et tombent comme ceux de Paris, de Kiev ou Stockholm. Puisque chaque gamin est le même d’où qu'il vienne. L'insouciance, jouer au policier et au voleur, s'écorcher les genoux, c'est partout pareil. Au Sahel, ils courent et tombent comme partout ailleurs. C'est ça qui font que ce sont des gosses comme les autres. Mais voilà, ils ne courent pas vers l'avenir comme à Paris, Kiev ou Stockholm.
C'est peut être un peu prétentieux de ma part mais j'écrirais pour faire plus lapidaire et surtout encore plus percutant : "Ici les enfants courent et tombent. A dix ans, on rêve d'avenir. La-bas ils courent droit dans leurs tombes. Il n'y a pas d'âge pour mourir". Merci
· Il y a plus de 9 ans ·Isabelle Polle
Chaque point de vue est intéressant, dans mon esprit les enfants du Sahel courent et tombent comme ceux de Paris, de Kiev ou Stockholm. Puisque chaque gamin est le même d’où qu'il vienne. L'insouciance, jouer au policier et au voleur, s'écorcher les genoux, c'est partout pareil. Au Sahel, ils courent et tombent comme partout ailleurs. C'est ça qui font que ce sont des gosses comme les autres. Mais voilà, ils ne courent pas vers l'avenir comme à Paris, Kiev ou Stockholm.
· Il y a plus de 9 ans ·Benjamin Katagena
@Isabelle Polle : je suis tout à faire d'accord avec vous.
· Il y a plus de 9 ans ·chloe-n