Renaud me renoue avec b2o

Renaud m'a fait aimer Booba                                                       Pause repas, bon bas c'est les 2 gars qui regardent les gens tant qu'il y en a. Mafé sénégalais, 5 minutes de peine sur un banc.

Se faire tatouer des machins, des trucs obscènes, haute seine. Élèves du fond de la classe, du talent plein les bras.

Renaud m'a fait comprendre Booba.

Un grand tiss-mé avec un petit blanc anis. Certains galériens cantonnés à la critique comme Cantona rien à dire.

Au cul, ils leurs pissent.

À filer des coups de chlasse dans le bitume, Psychotique et tête d'enclume.                                                                                          L'un chasse les pigeons, l'autre récupère les plumes. D'amertume, l'un descend le Jack un pétard, le cul sur un hamac. Amer il regarde l'autre tomber le Ricard complément en vrac.

Booba m'a rappelé Renard.

Les rapaces de nos plus beaux sons, suivent le mistral gagnant. Peu importe le bonbec, sale noir, leurs générations loubards.

Si tu passes devant la barre, prononces pas leurs Blazs à ton jugement . Ils connaissent des fêlés qui ne passent pas à la télé, Des blousons blacks complément jobards.

Appels téléphoniques, jetés de briques, un pied dans le ciment. Renaud dirait gentiment.

Laisse-béton, si je ment. Casse toi tu pus, marche à l'ombre derrière le bâtiment. Écoute hombre, ton mob deep c'est à l'arrière de ton slip. La c'est la place à ma mob, alors dégage ta jeep.

Booba déblatère d'une autre patte, demande à Cantat, sa gifle tue. Hey monsieur l'agent, la chatte à ta mère, qui sifflais-tu ? A la manière d'un Pitt, avant de te baiser il te renifle le cul.

Manu rempile, du bar aller retour en grand comme le duc.

Mister Renard tremblant, quelques tocs, abracadabra l'ont tous bien profond dans le uc.

J'étais tranquille, j'étais penard.

Accroupis 92i, je réparais ma mobylette, Dans le cambouis j'avais les deux mains liées. Le mec a déboulé très tard, avec sa grosse caisse super chouette.

Par le fenêtre, un gosse dans un nuage de fumée a fait chuter le prix de l'immobilier.

Boulbi, ....., tatatin.

Sur ces notes de piano, y à nos souvenirs qui reviennent sur ces chants. Booba a brisé ses chaînes, de vélo à la Lambo, il m'a rappelé le Renaud Séchan.

Pastille pour tabac, le pastis s'est changé en badoit, Il lui a fallu courir comme un esclave pour marcher comme un roi.

Il n'a pas toujours su marcher très droit, mais c'est dans le noir que les étoiles brillent et se voient.

Sa plume s'était envolée, retrouvée de composer il se le doit. Le temps est parfois néant.

Cependant, il ne tue pas les grands. Toujours debout, toujours vivant.