Rupture imaginaire
Alice Gauguin
Premier ver inspiré d'Apollinaire "Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant"
Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant
Pardonnez mes pêchés, mes crises enfantines
Je me souviens encore de nos pêchés à nous
A deux, à doux, à fleurs, de peau et volupté
Ouvrez donc cette porte où je m'assoies en bas
A vous attendre Monsieur, à vous laisser surprendre
Je suis même capable de coucher près d'ici
Tant que cette fichue porte ne s'ouvre d'un iota
Ouvrez-moi nom de dieu !
j'adore!
· Il y a plus de 9 ans ·monamacdee
J'adore ! La force derrière le désespoir et l'attente, les sentiments qui ne vacillent pas, malheureusement, comme cette porte.
· Il y a plus de 9 ans ·himitsukiyo