Rupture imaginaire

Alice Gauguin

Premier ver inspiré d'Apollinaire "Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant"

Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant
Pardonnez mes pêchés, mes crises enfantines
Je me souviens encore de nos pêchés à nous
A deux, à doux, à fleurs, de peau et volupté
Ouvrez donc cette porte où je m'assoies en bas
A vous attendre Monsieur, à vous laisser surprendre
Je suis même capable de coucher près d'ici
Tant que cette fichue porte ne s'ouvre d'un iota
Ouvrez-moi nom de dieu !


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