seulB -

Lulla

byzance du blues

Je suis venu te dire que je me taille

Que je te fume

Consume et hûme le fumier post-hume

Aucun mérite à c'que je me casse, en soi j'étais déjà pas là

J'aurai bien aimé savoir comme l'amour était rose

mais y'avait personne pour peindre par dessus ma toile, faut bien que je prenne les voiles 

le bleu bleu seulB ouh, le bleu bleu de tes yeux n'a jamais existé bleu bleu seulB j'ai pas la chance d'y voyager il était blond il était classe les souvenirs s'effacent - ce n'était que des rêves. dérêver ça devrait être le mot du bleu bleu seulB qui tangue, tangue et qui emporte avec lui juste, juste ce que tu voulais. Mais que veux-tu ?

rien

Je ne veux rien des autres. Y'a pas de blues blues y'a que du seul seul y'a pas d'amour mour à deux y'a que des mornes adieux, y'a pas d'amour mour à deux y'a que des preux sans foi. Cent fois je marche loin de toi, à maintes reprises je ne veux que moi dans le bleu bleu ciel dans le bleu bleu sans pareil. Cette couleur sans égal vaut bien plus que du violet violé par ton rose faux-cul et chemise. Je mise cent fois sur notre échec

C'est pour ça que je suis venu te dire que je me taille 

Que je te fume

Et que t'façon y'a pas de plume sans pareil pour te conter l'histoire d'une fin

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