"Parler de ses peines, c’est déjà se consoler" Albert Camus
Le voilà qui passe le Porche
Bientôt nous le déposerons
Au Chœur et sous le son des cloches
Qui sonnent à l'orgue à l'unisson
Transporté par les longs sanglots
Des pleurantes aux yeux boursouflés
Bientôt nous le déposerons
Pour lui offrir l'éternité
Et je t'écoute parler de lui
Avec des larmes dans la voix
Là ou il est et ou qu'il soit
Je suis certain qu'il entendra
L'ami, vient poser ta tendresse
C'est le dernier des rendez-vous
Mais les barrières que le temps dresse
N'auront jamais raison de nous
Que se taise la mélancolie
Je veux que l'orgue joue du Jarre
Que les claviers résonnent d'Espoir
Du rouge, du bleu mais pas de noir
Sonnez trompettes, rions en cœur
Rions à la gloire de ton père
Soyons vivants de mille bonheurs
Puisque c'est d'amour qu'on l'enterre
Et pour sûr, si je ne crois pas
Que les Dieux soient à la baguette,
Pour sûr la fin n'existe pas
De la mort renaît'ra la fête
Au Chœur et sous le son des cloches
Qui sonnent à l'orgue à l'unisson
Au Chœur et sous le son des cloches
Un jour nous le retrouverons
Au Chœur et sous le son des cloches
Qui sonnent à l'orgue à l'unisson
Au Chœur et sous le son des cloches
Bientôt nous nous retrouverons
Au Chœur et sous le son des cloches
Qui sonnent à l'orgue à l'unisson
Au Chœur et sous le son des cloches
Je jure, nous nous retrouverons
j'aimerais bien qu'on se retrouve un jour....mais....
· Il y a plus de 7 ans ·Maud Garnier
Texte très beau, très émouvant .... J'espère comme toi qu'un jour , on se retrouvera tous ....
· Il y a presque 8 ans ·anne-onyme
Merci pour ce commentaire, Anne :)
· Il y a presque 8 ans ·Benjamin Katagena
De rien , c'est toujours un plaisir de te lire .
· Il y a presque 8 ans ·anne-onyme