Striptease en ligne
didier-braque
Déborah effectuait occasionnellement des prestations sur un site internet de stripteases en ligne. Son excitation était décuplée de savoir que des dizaines de mecs la mataient pendant qu’elle se masturbait. Sa mère l’avait prévenue qu’elle rentrerait tard, ce qui lui laissait le champ libre. Elle annonça qu’elle serait bientôt disponible pour une exhibition dont elle avait le secret. Elle était devenue l’hôtesse la mieux notée du site. Elle se contempla nue dans la glace. Ses longs cheveux noirs contrastaient avec sa peau claire et mettaient en valeur ses seins d’adolescente bien gonflés. La courbe de ses jambes longues et fines se rejoignait au niveau de la fente de son sexe encore imberbe.
Stéphane attendait depuis plus d’une heure que la fameuse Pandora veuille bien se montrer. La mention « on line » s’alluma enfin et une chambre de petite fille se dessina sur la vignette que Stéphane s’empressa d’agrandir en grand écran. Le lit était vide, agrémenté de nombreuses peluches et poupées de toutes sortes.
La jeune fille apparut enfin, vêtue d’un faux boa de plumes noires qui lui masquait les seins et le pubis. Elle s’approcha nonchalamment du lit, s’allongea sur le ventre, présentant son dos couvert de tatouages. Elle prit un manuel de classe qu’elle se mit à consulter négligemment. Elle balançait les pieds en contractant ses petites fesses fermes.
Elle ferma brusquement son livre à l’expiration des trois premières minutes gratuites offertes par le site et l’envoya balader à l’autre bout de la pièce. Elle se coucha sur une grosse peluche en forme de léopard, sur laquelle elle se frotta langoureusement le pubis en oscillant du bassin. Elle souleva ses fesses et écarta les jambes présentant ostensiblement sa fente imberbe. Elle y glissa une main et se caressa du bout des doigts la chair fine et délicate des grandes lèvres, effleura le peau douce des petites. Elle avait les yeux fermés et accompagnait ses caresses de gémissements significatifs. Elle augmenta légèrement la pression sur ses petites lèvres qui s’entrouvrirent.
Pandora se retourna et s’assit sur le bord du lit. Elle fit glisser sensuellement son boa de plumes noires sur ses épaules en se déhanchant avant de le faire tournoyer devant son pubis. Son visage poupon contrastait avec ses manières sensuelles et féminines. Elle s’allongea sur le dos en se caressant le ventre, les seins, le nombril. Ses mains descendirent sur ses jambes longues et fines, puis remontèrent vers son entrejambe.
Stéphane avait largement passé l’âge de se branler tout seul sur internet, mais cette petite brunette l’excitait comme un malade. Sa façon de prendre plaisir à se caresser la chatte était particulièrement communicative. Il aurait donné cher pour la rencontrer.
Un voyant clignotant avertit Déborah qu’on voulait se connecter en show privé. Elle refusait généralement. Cela aurait pu lui rapporter plus d’argent, mais elle ne supportait pas la conversation insipide des ces hommes qui ne cherchaient qu’à tirer leur coup. Mais ce soir, elle avait besoin d’une présence auprès d’elle, quelqu’un pour la serrer dans ses bras et l’embrasser tendrement. Elle accepta. Elle ne sait pourquoi, elle se laissa convaincre par la douce voix enjôleuse de l’homme et lui donna rendez-vous dans un pub qu’elle connaissait.
Stéphane l’attendit longtemps dans le froid. Au bout d’une heure, transi dans son élégant costume d’hiver, il rentra dans le café persuadé qu’elle ne viendrait plus. Elle arriva enfin. Le pub était bondé et ils se frayèrent un passage vers une salle voûtée. Stéphane l’aida à ôter son manteau de fourrure. Elle avait passé une robe noire moulante qui faisait ressortir sa poitrine et découvrait le haut de ses cuisses. Ils se tassèrent côté à côté sur la banquette au milieu des groupes gesticulants et hurlant à tue tête sur un fond sonore tonitruant. Stéphane eut l’intelligence de ne pas se montrer trop bavard. L’ambiance ne s’y prêtait pas, de toute façon. Malgré sa prestation débridée, Déborah était un petit animal fragile et sauvage qui avait besoin d’être mis en confiance. Une complicité s’installa. La jeune fille se sentait en sécurité aux côtés de cet homme plus âgé, qui aurait pu être son père. Ils se laissèrent bercer par les vibrations de la musique. Elle posa sa tête contre son épaule. Il passa son bras autour de son cou. Il lui caressa doucement le visage et les cheveux. Elle s’approcha de sa bouche et posa un baiser langoureux sur ses lèvres. Ils s’embrassèrent longuement.
Déborah descendit alors la main vers son entrejambe pour y tâter la bosse qui s’y trouvait. Elle glissa sa main dans son pantalon pour y sentir son sexe bandé à se rompre. Elle plaqua sa paume contre le gland palpitant. Elle jeta un coup d’œil autour d’eux, mais personne ne leur prêtait attention. Elle défit le bouton du pantalon et en sortit l’organe gorgé de désir. Elle se coucha sur les genoux de Stéphane et approcha son manteau de son visage. Elle commença à le sucer. Il écarta les jambes et se laissa faire.
Elle s’activait lentement autour de sa bite. Elle en pinçait délicatement la base tout en lui caressant doucement les couilles. Elle prenait son temps et savourait cette friandise, comme un fruit exotique et nouveau dont elle découvrait les saveurs suaves et inconnues. Il glissa la main le long de son dos, caressant le tissu jusqu’à l’extrémité de la robe sous laquelle il fit glisser ses doigts. Il sentit le doux contact de sa peau et lui malaxa les fesses un moment avant de se laisser guider vers son intimité. Elle ne portait ni string ni petite culotte, et prenant cela comme une invitation, il n’hésita pas à introduire un doigt dans la moiteur humide de son con. Déborah se déhancha légèrement et le laissa faire.
Le café ferma ses portes et ils durent interrompre leur enivrante prise de contact. Ils marchèrent longuement dans les rues désertes, enlacés l’un contre l’autre.
– Ta mère va s’inquiéter.
– Elle croit que je dors. J’ai fermé ma porte à clés et j’ai fait le mur.
Elle s’agrippait à lui. Elle approcha sa bouche de son oreille et lui murmura d’une voix douce et sensuelle :
– J’ai envie de toi. Je veux sentir les caresses de tes mains sur ma peau, la douceur de ta langue sur mon clitoris et sur mes lèvres intimes. Je voudrais que tu me pénètres doucement et que tu me fasses l’amour toute la nuit.
Stéphane n’en revenait pas.
– Où est-ce que tu veux qu’on aille ?
– Chez toi !
– Ce n’est pas possible.
– Alors, je ne sais pas, à l’hôtel !
Leur désir était trop fort. Ils entrèrent dans le premier hôtel venu. Stéphane régla la note et ils se précipitèrent dans la chambre. Il eut à peine le temps refermer la porte que la jeune fille s’était jetée goulûment sur son sexe pour le reprendre dans sa bouche et le pomper vigoureusement, accompagnant ses succions de vifs mouvements de tête, tirant sur la peau des couilles, lui caressant les cuisses, le périnée, les fesses, mouillant un doigt avant d’effleurer son trou du cul et de l’y glisser délicatement. Il n’en pouvait plus. Il lui prit la tête et la repoussa vivement.
Il se précipita vers l’entrejambe de Déborah. Il la fit asseoir sur le bord du lit et souleva le bas de sa jupe qui révéla la nudité de sa chatte totalement imberbe. Elle était superbe. Ses deux grandes lèvres collées l’une à l’autre dessinaient une fente d’où dépassait à peine le bout d’une des petites lèvres. Stéphane y fit rouler la sienne et ce geste dévoila toute la moiteur humide de son con. Il le lécha longuement avec avidité et ferveur. L’odeur et l’humidité de cette vulve à peine pubère l’excitaient terriblement. Il passa et repassa la langue sur les petites lèvres fines et délicates. Il les écarta afin de contempler l’orifice mystérieux qui s’offrait à lui. Il dévoila la peau du clitoris tendu et gonflé sur lequel il saliva avant de l’effleurer délicatement du bout de sa langue.
– Oh oui, continue ! Bouffe-moi la chatte et le clitoris comme tu fais. J’adore ça.
Stéphane ne se le fit pas dire deux fois. Il s’activa avec ferveur sur la partie la plus succulente de l’anatomie de la jeune fille. Il y introduisit de nouveau un doigt et en explora les parois douces comme de la soie. Quand elle fut bien lubrifiée, il se caressa longuement le membre avant de le présenter devant la fente. Le bout du gland se glissa entre les petites lèvres et pénétra facilement dans le con détrempé dont les parois étroites lui enserraient divinement la bite. Il ressortit lentement de cet orifice dont la beauté même le ravissait.
– C’est un spectacle sublime de voir ma bite entrer et sortir de ta chatte, tu ne peux pas savoir !
Il la déshabilla entièrement et ses seins gonflés et fermes se déployèrent librement. Stéphane les malaxa longuement tout en continuant d’aller et venir à l’intérieur de son con, avec calme et sang-froid. Il accélérait progressivement le rythme et augmentait lentement l’amplitude de ses mouvements de hanches. Il s’enfonçait dans l’intimité de Déborah, jusqu’à venir buter contre l’extrémité de son vagin. Puis, il posa la paume des mains sur la plante des pieds et lui écarta les jambes. Les lèvres de sa chatte s’écartèrent d’avantage, laissant sa bite s’engouffrer plus avant dans les profondeurs de son con. Il accélérait de plus en plus ses mouvements et leur plaisir approchait de son paroxysme. Il ne pourrait bientôt plus se retenir.
– Oh ouuui. Encore plus fort, prends-moi ! Baise-moi ! Maintenant ! J’ai envie de te sentir jouir en moi. Lâche moi tout ton foutre. Aaaaaaaah !
Une décharge lui monta du fond des couilles pendant que Déborah laissait échapper un cri ininterrompu. Il peinait à maintenir les convulsions de la jeune femme qui s’agitait dans tous les sens. Sa propre jouissance monta elle aussi. Il sentit un immense flot qui les submergea tous les deux. Pendant qu’elle criait, il lâcha un râle de cerf en rut et se retira au dernier moment. Tout son foutre gicla et inonda le visage, le ventre, les seins, le pubis, de la jeune fille, débordant amplement sur le couvre-lit.
Déborah s’empressa de rendre hommage à la bite de Stéphane dont elle lécha les dernières gouttes.
– Tu m’as baisé comme un roi, pour toi, ce sera 500 euros. Et encore, je te fais une fleur !
Stéphane en demeura interdit.
– Tu ne m’avais pas dit que tu étais une professionnelle ?!
– Et toi, tu ne m’avais pas dit que tu étais marié !
– Comment tu sais ?
– Tu as pensé à enlever ton alliance… mais elle laisse une marque plus claire sur la peau.
– Je ne comprends pas. Tu as pris ton pied, non ?!
– Et alors ?
– Tu veux de l’argent, en plus ?
– Tu préfères que je raconte tout à ta femme ?
– Tu es sérieuse ?
– Je me gênerais, tiens ! Viol sur mineure… tu en as au moins pour dix ans… alors, franchement 500 € ; c’est cadeau.
– Quoi ? Mais je ne t’ai pas violée !
– C’est toi qui le dis, sauf que moi, je prétends le contraire !
– D’accord ! Mais tu vas voir ce tu vas voir !
Il l’obligea à se retourner, la plaqua sur le bord du lit et lui écarta les fesses, il pinça le bout de sa bite et la lui enfonça fermement dans son petit trou du cul resserré. Elle poussa un grand cri, entre douleur et plaisir.
– Intromission anale sans préservatif, ça fait 500 € de plus !
Stéphane lui saisit fermement les hanches et la bourra de violents coups de reins.
– Oh oui ! Défonce-moi le cul, je ne t’ai pas dit, j’adore ça… Aaaaaaaïe.
– Tais-toi !
Il lui plaqua la tête contre le lit où ses cris s’étouffèrent. Sa bite était fortement comprimée dans l’étroit conduit et il y déchargea à nouveau. Il s’essuya sur le couvre-lit, puis chercha de l’argent qu’il lui jeta à la figure. Il sortit en claquant la porte. Elle se mit à quatre pattes pour ramasser les billets éparpillés sur le sol. Elle les compta consciencieusement, puis les amena à son visage et les froissa entre ses mains avant de se mettre à pleurer.