t'aime

jeffos-buss

Sept instants par semaine

je suis nu du corps à l'âme,

vide d'envie, de tout

dans une allée vide de tous.

Je délaisse ma vie mes ors

mon rire que tu aimais tant

face à toi je suis nu

le cœur dévoré par la douleur

de ton absence, ce silence, 

nu, ivre d'une douleur

qui ne faiblit jamais

sept fois c'est rien...

des fleurs, mes pleurs

des hurlements vers le ciel, 

des coups de poings à terre

sur le granit, la croix

sur toi sept fois ici

ces instants qui ne sont rien

et partout ailleurs,

le reste du temps de ma vie. 

  • Si difficile...nu comme un nouveau né abandonné. Tout à réapprendre dans un monde qui n'est plus le nôtre.
    La visite cimetière, ce tête à tête improbable, indispensable, déchirant.
    Gardez espoir si cette histoire est la vôtre !

    · Il y a environ 7 ans ·
    Je t'aime (1)

    tantdebelleshistoires

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