Ton art

cat-tomate

Loin de moi l'envie,
Lorsque de ton art coulant
Je m'éprends, je me somme,
Lorsque de tes ivoireries,
De tes porcelaines vagabondes
Au plus creux de mes nuits,
S'éveille,
Lourdeur astrale qui me nargue, m'inspire
Me respire,
Me colle à ton infini désordonné
Vaillant de ses rondes désinhibées,
Et maintenant que je désire ton Soleil,
Fondu,
Désormais ne siège plus en moi l'envie
Qui me crie de tout oublier,
À recommencer.

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