Tout s'barre en couill*s...

Yann Reynaud

Le jour où ce sera Armaggedon sur Terre, je serai aux premières loges, rigolant jusqu'à mon dernier souffle, et tel un "enfant du divorce humain", dans un dernier rictus je dirai tout bas: Dans l'cul

Entre la fonte de la calotte glacière, le réchauffement de la planète, les trous dans la couche d'ozone, le déboisement amazonien, les tests sur les animaux, les essais nucléaires, les maladies "créées" par l'homme, les caniches (j'm'égare là je crois...) etc...

Bref, comment se fait il que l'homme ai pu transformer la planète en si peu de temps ?

Si on remonte dans le temps, que s'est il passé pour que l'homme "ai pris le dessus" sur les animaux (et encore, ça reste à prouver), qu'il se soit prit pour Dieu en adaptant la Terre, mère nourricière, Gaïa selon certaines croyances, au lieu, comme les animaux, de s'adapter à elle pour vivre...

La découverte du feu peut-être ?

Parfois, j'me dis que la planète ne serait pas ce qu'elle est si l'homme n'avait pas existé...

Peut être une autre race d'êtres vivants (les loutres peut être ?) aurait suivi le même chemin que l'homme, l'amenant tel un pèlerin à un long et douloureux voyage...

Quelle sera notre sentence pour avoir commis ce que je qualifie de "crime de la vie" ?
La fin de notre « ère" pointerait-elle le bout de son nez ?

Quelle réponse pouvons nous y donner ?
Quelles mesures pourrait on prendre face à un tel déchaînement de violences, qui pourtant, malgré la quantité de scientifiques et autres appareils de mesures, étaient complètement prévisibles ?

Telle une lourde locomotive à inertie infinie, que seront nous face à la lente révolte de la Terre, que l'on a tant fait souffrir au lieu de protéger...
La vie est un cadeau, la Terre le père Noel, pourtant, on a pas été foutu de la respecter...

Le jour où ce sera Armaggedon sur Terre, je serai aux premières loges, rigolant jusqu'à mon dernier souffle, et, tel un "enfant du divorce humain" ayant sombré dans la folie, dans un dernier rictus, je dirais tout bas...



"Dans l'cul..."

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