Trois dimensions

Jean François Joubert

ludo Vigh et Phonic

Ludovigh



y a pas de lézard, ludovigh est un chat quand il peint, un show dirait les anglo-saxon, mais nous au pays de molière nous dirions, quoi au juste ? Son art la peinture, son goût la musique électronique, son obsession la lumière, les trois se mélangent, et on obtient le septième art pas artificielle technologique. Depuis sa naissance, il plonge, BB plongeur pas dans un restaurent mais au fond de l'Océan, de l'Iroise à la mer méditerranée, grisé par l'ivresse de la barre des quarante mètre, il reproduit ses visions, un dauphin et une étrave  de bateau, un phoque, un débris de bois, une coque de noix, des œufs de roussettes et le tout en lumière noire s'il vous plaît, et en publique. Sa peinture est minimaliste, obsédante, on peut voir que ses tableaux se lisent au quatre coins, qu'ils soient rectangle ou carré, ou losange, touché par la grasse, je plaisante, n'allons pas poser du mysticisme dans son univers singulier, a pas de loup, il va vers ses gamelles, devient chat de gouttière, équilibriste et harmonise suivant son concept, ses idées, sa technique, la musique et la lumière Bleu Océan que personne ne capte vraiment à l'œil nu, du moins pas votre serviteur !


Donc, cet artistique est multi-dingue, uni ou multicolore, pas né dans une bassine ni une piscine de clore, il vous étonnera si vous l'observer dans son envole et la conception d'une de ses toiles.

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