Tu verras, tu verras...

Je voudrai voler au vent comme l’hirondelle au matin du printemps.

M’envoler avec elle vers des terres si belles que mes ailes s’arrêteraient de battre.

Choisir de me poser plutôt que de m’abattre.

Et repartir sur les chemins des espaces sans temps.

Avec elle partir plus loin que mon esprit.

Et décider enfin de me poser ici.

Et je volerai alors au dessus des nuages.

Avec le coeur léger et les jambes volages.

J’aimerai que le ciel devienne ma patrie.

Et que tu m’accompagne le long de cette voie ci.

Tu verras mon amour que le vol est si beau.

Et qu’à quatre ailes pas besoin de turbo.

Nous nous envolerons pour des journées entières.

Rêvant aux prochains cieux qui nous accueilleront.

Et puis un nouveau jour nous nous reposerons.

Nous plierons nos ailes autour de nos oisillons.

Nous trouverons l’endroit où nous nous poserons.

Et nous serons alors heureux et fiers.