Twist again.

Si vous avez manqué le début:

Brigitte, belle comme un soleil et mineure dans la couche sociale de la société, surprend une conversation d'Antoine, son amoureux. Celui-ci la traite de marie-couche-toi-là, de chaude-bouillasse, de gamine d'un soir. Par dépit et pour lui faire monter la mayonnaise, Brigitte embarque sur le bateau de Carradine, vieux virus et agent immobilier qui mouille au port, cigarette à la bouche et bagouses tout plein les doigts...

Si vous avez raté le milieu et la fin :

Parce que Brigitte manque de peu le bus (les histoires d'amour tiennent à rien), Brigitte se marie avec le jeune frère d'Antoine (Michel) pour échapper au pensionnat (souvenez-vous, elle est mineure et le restera jusqu'à la fin du film). Dans le quotidien, Brigitte s'ennuie et pour se distraire, emprunte une barque à moteur qui chauffe. Celle-ci prend feu (la barque) et c'est Antoine qui voyant de la fumée au large, la secoure  (Brigitte). Elle est encore plus belle toute mouillée (Brigitte encore). Trafiqués par les éléments et les circonstances, tous deux finissent par se rechopper un chouïa d'amour dans l'eau de mer.

Michel apprenant cette déconvenue sentimentale, assomme son frère et part flingue à la main, à la recherche de sa femme, pour lui en foutre une dans la tronche (oui je sais, un scénario un peu primesautier et qui cherche à faire court pour la demi-heure qui reste).

De son côté, désœuvrée, Brigitte entre dans la boite de Carradine (le vieux virus gère aussi les nuits Tropéziennes) et lui offre sur la table, un mambo du diable.

Michel, qui tel un chien renifle de la queue sa proie, entre à son tour et tire. Il loupe Brigitte et blesse Carradine. Soigné, le vieux virus ne meurt pas et Michel recouvre sa femme ( sa petite fortune personnelle)...

Si vous manquez d'idée originale sur la morale de cette histoire :

"C'est en luttant la fièvre que ton organisme s'immunise."