un roman court

hectorvugo

Vous étiez donc de celles que ne faisaient rêver. Par un matin d’automne j’avais franchi le pas et vous aviez craqué. Nous nous étions dits oui. Peu de vocabulaire pour une histoire d’amour, trop peu assurément pour en faire un roman : une histoire à l’eau de rose au parfum de regret

Je vous quitte sans larme puisque je n’en ai plus

De vos beaux yeux je garde la brûlure d’une âme

Dont je n’ai rien compris

Signaler ce texte