Un soir.

slive

Rien n’égale la douleur

Qu’on se représente

Après jouissance.


On voit la puritaine se lever

S’habiller

S’envoler


Au nom d’une seule nuit

D’une règle commune


Alors je lui attrape le bras

La supplie de rester


« J’aimerai qu’on parle, j’aimerai te regardé manger.

Vivre et sourire


Et non

N’avoir de toi

Qu’une baise

D’une nuit.

 

Je ne connais de toi

Que le goût

De ton sexe


Et ça me fait mal »


J’attends

Mais aucun mot

Ne lui vient.


Alors nous fîmes l’amour

A nouveau.

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