Un soir.
slive
Rien n’égale la douleur
Qu’on se représente
Après jouissance.
On voit la puritaine se lever
S’habiller
S’envoler
Au nom d’une seule nuit
D’une règle commune
Alors je lui attrape le bras
La supplie de rester
« J’aimerai qu’on parle, j’aimerai te regardé manger.
Vivre et sourire
Et non
N’avoir de toi
Qu’une baise
D’une nuit.
Je ne connais de toi
Que le goût
De ton sexe
Et ça me fait mal »
J’attends
Mais aucun mot
Ne lui vient.
Alors nous fîmes l’amour
A nouveau.
très percutant, très tendre aussi. Je comprends bien la peine qui suit la jouissance.
· Il y a environ 11 ans ·elisabetha