Vénus (Ou Toutes les femmes)

Cédric Yali

Pour une demoiselle de ma classe. Pour tous les fille qui ont nourri mes yeux et mon âmes et mes battements de cœur.

La panache du vent face au ciel, la beauté de la lumière du soleil,comme un saule pleureur qui s'élève vers le ciel mais dont les branches connaissent la pesanteur de la terre, l'infini déclinaison de la Terre et des saisons ne sont chers à mon coeur que parce que mon sang au gré du temps à finit par se nourrir de beauté et laisser fuir l'instant pour n'obtenir que de la grâce, dans ce jeu , dans ce peu, nous courons, saisissons, oublions, le coeur de la raison est l'instant que nous fuyons.


La gentes féminine m'a toujours intrigué. D'aussi loin que je me souvienne ; je l'ai toujours aimé et admiré. On vit dans un monde bizarre où on est jamais sur de qui est en face de nous. Et dans ce monde de faux-semblant, les femmes savent mieux se cacher que les hommes. Les hommes qui préfèrent joué à qui a la plus grosse. La femme est l'essence du mystère et elle est la raison de ma croyances aux nuances de la beauté. Tous ces mot élogieux au genre ont un sens. Devant moi,une fille est assied. Une jeune fille. Ou comme les appellent les féministes, une demoiselles. Elle m'intrigue. Elle se maquille mais j'ai l'impression qu'il se cache une personne dans la profondeur, peut-être comme toutes les femmes , son mystère réside dans le fait qu'elle est unique. Avec ses cheveux en cascade, non je dirai plutôt:” qu'ils sont semblable aux roulis de la mer déchaînée”. J'ai le terrible sentiments que ses passions sont juste mais peuvent aller au delà de se que les hommes peuvent voir. Belle ? Sûrement, évidement; c'est un fait avéré. Intelligente ? Quelle femme ne l'ai pas ? Suis-je amoureux ? Pas vraiment, je ne le pense pas. Pas que je sois un de ces hommes qui ignorent ses sentiments mais je m'essaie à séparer l'amour et le manque. Il vrai que cela fait un certain temps qu'une femmes ne pas aimer mais dans cette période loin des grâces de l'autre sexe,j'ai appris à voir ma relation avec autrui sur un autre ton. Loin d'être une demoiselle inaccessible, la demoiselle que j'ose regarder, a des traits fins. Des yeux couleur lagon et une bouche rose. Un rose de la fraîcheur de l'aurore. La beauté est chose précieux pour une femme mais elle est loin d'être la seule force de celle qui sont l'origine de l'humanité. Les hommes pensent que les femmes sont incompréhensible car si nous les comprenions vraiment on verrai qu'elle peuvent nous dépasser dans presque tous les domaines. Je ne suis pas pour autant féministe mais je sais que l'autre sexe est le vrai sexe fort. Elle s'accomplirai mieux que moi et cela au finale n'est pas si mal. D'où elle est. Elle ne vois pas, elle ne sais pas, que sans le vouloir elle m'a donné un peu d'espoir que mes activités d'homme fier vont supprimer moins de 24 heure après.  Elles ne le savent pas, mais nous autres sans elles ne sommes que des pics, leurs creux nous adoucissent et leurs visages nous obligent à voir un monde meilleur.  Aujourd'hui c'est une belle blonde qui m'a donné espoir mais peut-être que demain c'est une femme à la couleur ébène. Peut-être une princesse d'Asie. Qui sait ! je suis sur que de sa place et dans son fort intérieur , elle sait qu'elle vient de donner de l'espoir. Elle sait que par sa vu mon esprit à trouver la paix. La femmes universelle est un mythe. La femme vrai, une réalité. On m'accuse souvent de me rincer trop les yeux mais pour ma part je dirai ceci pour répondre à mes détracteurs:"Celui qui ne sais point aimé les courbe, le visage et le caractère d'une femmes; celui-là n'aime pas alors l'humanité." Elle vient de se lever et mon regard sans le savoir  suit la douceur de se monde remplit d'horreur.

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