Tic... tac.

elixir

Jeunesse qui brille, 

Qu'on dit être sublime,

On dit: que je la chéris et l'estime !

Et vrai, votre coeur en tressaille !


Plaisirs déchaînés, 

Corps envoûtés,

Aux heures suspendues,

Du temps perdu.


Frisson capricieux,

Parfums onéreux,

On connait cette complainte !


Autant que sa fin succincte,

qui chaque fois est la même.

Mais sous elle, que l'amour est suprême !


Puis, sa fièvre vous parcoure toujours la peau,

viens frôler, pour de faux,

ces lèvres qui embrassèrent.


Et là,  elle vous enserre, 

vous faisant rêvasser,

du baiser de l'aimé oublié.


Jeunesse...?

Arrête,

vilaine bête !

Sur toi... l'on pleure sans cesse !

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