WINSTON

René Kalfon

Cinquante ans après la mort de Winston Churchill, un homme qui promit à son peuple « de la sueur, du sang et des larmes », je pense à des contemporains qui veulent bien faire telle ou telle guerre mais avec zéro mort. Cinquante ans après que Churchill soit mort, je pense au peuple britannique, lequel nous a donné le sport mais aussi un bonhomme qui répondait, quand on lui demandait le secret de sa forme olympique, à un âge canonique, par cette formule très laconique : « No sport ».

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