Zion
Yasé 222
Les traits tirés vers le ciel, sentir cette nature déployer ses ailes
Seul hypothèse à nos racines, ce souffle berçant l'écueil des cimes
Douce harmonie des éléments si invisible à l'air du temps
Idéal brin de vie sur nos plaies endormies
Un murmure suave mystique sauvage
Zion, Zion
Toujours dans l'ombre de Babylone
Oublier les heurts, les échecs, la peur
Les cercles de l'histoire maquerelle spectrale sur les grimoires
Ce goût acide sur la peau, laisse le vent balayer les maux
L'œil ouvert à l'hypnose s'abreuver de lignes jusqu'à l'overdose
De doux messages ces paysages
Zion, Zion
Toujours dans l'ombre de Babylone
Dans la joie enivrer ses sens, ce tableau cette quintessence
La fragrance des fleurs, zéphire d'extase sur la torpeur
La tête dans les nuages être avide de bonheur
Pales contrastes d'un monde à la face si froide
Un temple de l'indifférence, le dos courbé sur ses narcisses
Toujours en quête d'un nouveau souffle
Très fort!
· Il y a plus de 2 ans ·Christophe Hulé