Ne jamais censurer les sens sûrs qui créent nos corps accords
Je brulais de vous libérer
Pour vous voir… déchaînée.
Au plus profond de notre complicité
Vous insuffler l'envie de plonger, de vous noyer...
Vous et moi ferions, des plaisirs, les voyages
Je serais votre Roi Mage
Nous oublierions le trop sage
Pour le tendre libertinage
Pour goûter et aimer mes caresses
Vous m'abandonneriez votre faiblesse
Et la nouvelle virginité de vos fesses
Je vous enivrerais de ma tendresse
A peine nous étions nous rencontrés
Que vous saviez, déjà, de moi, vous faire désirer
En me laissant deviner
De douces et transcendantes voluptés
Vous seriez venue de ma tendresse vous nourrir
Et sentir tout votre corps frémir et rugir
Il fallait laisser nos sens sûrs écrire
Et l'accord de nos corps devenir…
Se nourrir de votre tendresse ? C'est tout ? :(
· Il y a plus de 6 ans ·Sy Lou
Qui a dit que c'était tout? ! Il peut y avoir entrée, plat et dessert!
· Il y a plus de 6 ans ·menestrel75
Voui :)
· Il y a plus de 6 ans ·Sy Lou
Elle savait déjà de vous, se faire désirer..............
· Il y a plus de 6 ans ·Louve
Alors souhaitons qu'elle en fut heureuse
· Il y a plus de 6 ans ·menestrel75
Je souris en lisant ce vers "la nouvelle virginité de vos fesses" essayant de deviner le sens exact. C'est une très belle censure.
· Il y a plus de 6 ans ·marivaudelle
Je pense que vous devinez toute seule le sens que j'ai donné à ce vers... Musset a écrit: "Le coeur d'un homme vierge est un vase profond etc" Je m'en suis inspiré pour suggérer que "les fesses vierges d'une femme sont un calice profond dans l'espérance d'être découvert"
· Il y a plus de 6 ans ·menestrel75