Chapitre 18 - AMBER ET VANITY, AMBER ET ZOEY

suemai

AMOUR, CRIMES, SEXE ET HUMOUR. C'est une petite maligne, votre sœur. Si vous cousez ou collez les pochettes en inversion, soit chien à chien, vous pouvez dégainer normalement ou en croisé.

— Bonjour Mr.

— Bonjour mesdames, que puis-je pour vous, un petit pistolet pour autodéfense?

— Pas exactement, nous devons nous rendre à la chasse au papillon, monsieur, articula clairement Christina

Elle sortie la liste de sa poche et la posa sur le comptoir.

— Des pap… papillons, reprit le type? Il lisait le papier du coin de l'œil.

— Bon alors, on abrège s'énerva Eltirra, papillon ça te dit quelque chose ou pas?

— Si, bien sûr, vous êtes la cousine de cette jeune chasseuse de papillon, demande l'homme à Christina?

— Non, sa sœur, plutôt sa demi-sœur. Alors, voici mes pièces d'identité et celles de ma conjointe.

— Conjointe?

— Nous sommes lesbiennes, je sais ce peut être confondant.

Le gars suait à grosse gouttes et ne semblait pas nécessairement près à remplir sa fonction. Eltirra, légèrement nerveuse, tapa sur le comptoir, afin de sortir le mec de sa torpeur.

— Oui, oui, pardonnez-moi, je ne m'attendais pas à votre visite, ça va aller maintenant. Amber, si je me souviens bien. Gentille chasseuse, «tenta-t-il de rigoler. Il se reprit aussitôt.» Je la connais par cœur cette liste. Alors ce sera deux fois, j'imagine?

— Non huit, précisa Christina.

— Oui, oui… du sacré gros papillon…

Tout se retrouva rapidement sur le comptoir, qui débordait littéralement, même si les coffrets des «Winchester B&T APR» s'empilaient. 

— Je vous mets les chargeurs immédiatement dans des sacs de transport séparés, sinon on ne s'y retrouvera plus, suggéra le vendeur. Bon, voyons voir, des fumigènes, il doit m'en rester une vingtaine, Une dizaine de traceurs, voilà, pour les ceinturons à poches-revolvers, je crois avoir quelque chose de bien «et il revint avec de larges porte-armes, multi-poches.» Bien je vérifie si les «Sig Sauer» s'ajustent bien aux gaines. Voilà, exactement le format. Mais là j'ai un problème… pourquoi deux pochettes supplémentaires par ceinturon. Il nous faudrait, à tout le moins, une dimension. À moins que… une petite minute, je crois saisir.

Le type s'empara d'un micro Uzi et se précipita dans un rayon, Il fit l'essai de diverses grandeurs de gaines et soudain il trouva. Il revient aussitôt avec le matériel.

— Voilà, dit-il, j'ai compris ce que désirait Amber, si vous me permettez, elle porte les miro-uzis dans des pochettes-revolvers. Elle peut ainsi dégainer avec soit le Sig Sauer ou le Uzi, à sa convenance.

— Mais comment, demande Christina?

— C'est une petite maligne, votre sœur. Si vous cousez ou collez les pochettes en inversion, soit chien à chien, vous pouvez dégainer normalement ou en croisé. Un pistolet de précision, et un second à rafale. Brillant.

Devant les regards incrédules des filles, le type fit une démonstration d'une dégaine en croisé.

— Voyez… aussi simple que ça. Vraiment incroyable, génial.

— Super, souffle Christina, maintenant si on passait à la caisse.

— Bien, si je me souviens bien, j'avais tout arrondi, pour Amber, à 7,500$. Bon si j'ajoute à cela les fumigènes, les traceurs, les gaines et les ceinturons, Je vous ferais le tout pour 8,300$ par ensemble, soit, en arrondissant 65,000$. Qu'en dites-vous?

— Vendu Mr. en décida Christina.

— Appelez-moi, Troy, j'ai l'impression de faire partie de la famille, rigole-t-il.

— Alors Troy, nous devons transporter, disons discrètement ce matériel, tu aurais une suggestion, s'informe Eltirra?

— Attendez que je réfléchisse, une charrette à foin, voilà la réponse.

— Là t'es pas sérieux, reprend, Eltirra, on doit se taper 300 bornes. Faut oublier le tracteur.

— Non, non, il s'agit d'un camion, pouvant atteindre une bonne vitesse. Il sert au transport du foin sur de longues distances. Alors on camoufle les armes tout au fond et on couvre de foin. Un grillage de métal se rabat, pour tout maintenir. Aussi simple que ça. Laissez-moi loger un appel ou deux, je vous reviens.

— Eltirra, tu crois que tu peux conduire ces trucs-là, parce que moi, ben, j'suis nulle.

— T'inquiète, je conduis n'importe quoi, ma belle. Bon sang que tu me fais envie.

Troy revient au pas de course.

— Magnifique, un gars de mes connaissances peut vous louer le sien, pour environ 3,500$ par mois. Ça vous convient et je m'occupe du chargement. Armes et foin.

— Vendu, Troy, répond Christina.

— Voici ma carte de crédit, je te règle tout maintenant.

— Bien Christina… signature et voici c'est fait.

— Il y aurait une pharmacie pas loin, Troy, s'informe Christina

— Oui, vous descendez, vous prenez à gauche quatre rues plus bas et ce sera à votre droite.

— Nous revenons.

Tout en sortant,

— Pourquoi une pharmacie, Christina?

— Pour renouveler les stocks médicaux.

***

— Amber se rendit à la porte et ouvrit. Il s'agissait bien de Vanity.

— Entre. Bon sang... tu dors en molleton par cette chaleur?

— Heu oui… tu peux te couvrir, s'il te plait?

— Bien sûr, Vanity, bien sûr. Alors, tu as fait des cauchemars?

— En quelque sorte, je te vois nue partout, c'est normal?

— Avec le baiser que tu m'as offert, j'imagine que oui… t'es normale.

— Tu peux me dire ce qui m'arrive, Amber?

— T'arrive pas à répondre à cette question toute seule?

— Figure-toi que non, mademoiselle je sais tout…

— Pas la peine de te vexer, Vanity. Pour conserver mon statut de femme directe, je dirais que tu as envie de faire l'amour avec moi.

— Mon dieu, mon dieu, c'est ça et c'est épouvantable. Ça ne se fait pas coucher avec une autre femme, chez moi.

— Ben chez moi si. Retire-moi tout ça, je suis certaine que tu porte un slip et un soutif.

— Comment tu sais?

— Parce que je sais tout, voilà. Tu dois être mignonne comme tout, en sous-vêtements.

— Tu crois? Je ne sais pas et là, ben, j'ai peur. Je vais retourner dans ma chambre.

— Non, tu restes pour la nuit, je vais te montrer, tu vas adorer. Comment tu faisais toute seule?

— Je… je… je serrais les cuisses parfois et ça passait.

— T'arrive à jouir en te serrant les cuisses, et ben ça. Tu dois être chaude et pas qu'un peu.

Vanity retira tout et se retourna devant Amber, qui se retrouvait nue de nouveau. Cette fois, Vanity ne dit rien. Amber lui souleva la main et la posa sur un de ses seins. Elle pressa la main de Vanity, un moment, et se laissa soudain, caresser. Vanity approcha sa bouche et tèta le sein d'Amber tout rond et excité.

— Bordel que c'est bon. Laisse c'est à mon tour.

Vanity retira un sein de son soutif. Il était magnifique. Amber approcha sa langue et enseigna de petits turcs à Vanity, qui tremblait de plaisir. Amber passa sa main sur le sexe de sa partenaire, puis lui retira son slip. Vanity débordait. Elle était mouillée de partout. Elle se frottait sur la cuise d'Amber. Tous les tabous disparaissaient. Amber, excitée, rapprocha sa bouche du sexe de Vanity. Le pubis était tout gonflé. Elle lui écarta langoureusement les lèvres. Elle la caressa de sa langue, elle tournait tout autour de son clitoris, lui léchant les cuisses. Vanity s'étendit. Après quelques minutes elle poussa son premier gémissement et atteint un fort orgasme. Elle mordait Amber au poignet. Son corps se secouait de spasmes. Amber la calma doucement. Vanity rouvrit les yeux.

— C'est à moi, compulsa-t-elle, je veux t'entendre aussi. Je fais comment?

— Attend je te montre ce que j'aime le plus. Mais je t'avertis je viens très rapidement et ça dure longtemps et je cris. Il me faut un oreiller. Étend-toi sur le dos. Je vais m'asseoir sur toi et placer mon sexe sur ta bouche, passe ta langue partout, je vais gémir de plus en plus. Tu vas sentir une petite bosse. Tu me donnes de rapides léchées et tu aspire aussi. Tu fais tout ce que tu veux, ok?

Vanity s'étendit et Amber la chevaucha. Elle lui offrit son sexe, sa vulve toute bombée, ses lèvres bien ouvertes et fiévreuses. Vanity goûta à des sécrétions pour la première fois. Elle s'excita tout aussitôt. Elle passait sa langue et sentit le clitoris d'Amber se gonfler. Amber dans des mouvements de va-et-vient, se calait sur la bouche de Vanity, qui la mordillait. Instinctivement, Vanity se masturbait. Amber haletait et Vanity s'en excitait que davantage. Elle faisait jouir une femme pour la première fois et c'était Amber, cette magnifique Amber. À un moment, Vanity n'eut qu'à laisser sa langue toute allongée et Amber s'y frotta tout en criant. Ça augmentait toujours et davantage. Vanity tournait son sexe de sa main moite et atteignit une seconde jouissance. Cette fois elle cria et sans retenue. Au même moment, Amber hurla. Après quelques minutes, elle se laissa tomber sur le dos, aux cotés de Vanity. Elles reprenaient haleine, et elles ne cessaient de s'embrasser. Vanity se trouvait toujours en état de  surexcitation. Ses baisers devenaient foudroyants. Amber, entra ses doigts entre ses lèvres et la massait de son pouce. Vanity hurla et hurla. Amber s‘empara de l'oreiller et la laissa y mordre. Son corps s'agita, mais cette fois beaucoup plus rapidement, elle tombait pratiquement en convulsion. Amber s'aperçut, à sa grande surprise, que Vanity éjaculait. Amber, lui parla doucement. Vanity se secouait toujours de petits soubresauts espacés. Après un temps, tout se calma. Vanity reposait totalement décrochée de la réalité. Amber lui parlait toujours. Vanity s'endormit. Amber l'embrassa. Elle lécha son corps de nouveau et la respira. Elle sortit de la chambre, afin de mettre la main sur des draps propres et ce qu'il fallait pour la nettoyer. Elle cherchait, lorsqu'elle entendit,

— Voilà, Amber, lui tend Zoey.

Amber se retourna et aperçut, Zoey, nue totalement excitée, lui offrant draps et serviettes.

— Suis-moi, lui dit Amber.

— Aide-moi, à tout changer et à laver Vanity.

— Mais c'est une véritable torture, Amber... Ce qu'elle est belle les cheveux dénoués, c'est la première fois que je la regarde d'aussi près.

— Allez hop, je la soulève et on retire tout. Pas de crainte, elle ne s'éveillera pas. On remet du propre. Tu m'aides à la laver. On termine le travail et ensuite je te ferai l'amour, si tu veux bien. D'ici peu de temps, tu pourras prendre Vanity tout contre toi, elle te désirera.

Les seins de Zoey étaient plus que généreux. D'énormes mamelons, de belles rondeurs, toute petite, un visage émacié et rousselé, des cheveux courts en mèche. Elle se laissait toucher. Elle se cambrait sous les caresses d'Amber. Zoey la fixait avec intensité.

— Je te répugne, n'est-ce pas. Je suis petite et grosse et pas très jolie.

— Tu dis n'importe quoi, ton corps est magnifique et tu es une fille extraordinaire tout comme Vanity. Je peux sucer tes seins. Ils sont gros et ça m'excite terriblement. Jamais je n'en ai vu d'aussi attirants.

Zoey les lui offrit l'un après l'autre. Amber ne cessait de les lécher. Elle les suçait et les caressait inlassablement. Zoey la regardait toujours. Elle reprenait une certaine confiance en elle. Voir Amber se ruer sur sa poitrine avec autant de désir, la réconciliait avec son corps. Elle se ferma les yeux. Amber lui offrit autant d'orgasmes qu'elle put en supporter. Puis, soudain, sans que Zoey s'y attende, elle l'embrassa avec fougue, lui susurrant des mots d'envie et d'amour, sous des pulsions frénétiques. Amber cala son visage entre les seins de Zoey et elle se laissa jouir à son tour. Son plaisir atteignait de toutes nouvelles sensations. Pas de cris, qu'une lente jouissance qui l'enveloppait toute entière.

Amber aima deux femmes ce soir là. Différentes et farouchement belles, chacune à leur manière. Elle se sentait comblée. Pourtant, son attirance pour Zoey devenait flagrante. Elle aimait cette magnifique petite rousse, aux énormes seins, à la taille découpée, et aux cuisses potelées, aux pieds minuscules, à la bouche tendre, aux lèvres pulpeuses et au cœur aimant. Après quelques heures, Zoey lui racontant sa vie à Tuxton, Amber retourna auprès de Vanity, toujours endormie. Elle contempla ce visage d'ange, à la tignasse d'une beauté exceptionnelle, ayant atteint une grande plénitude. Amber la veilla quelques temps, et s'endormit à ses cotés.

*** 

Au matin, Amber laissa Vanity récupérer et alla retrouver Zoey à la cuisine.

— Allo ma jolie, lui murmura-t-elle à l'oreille, Zoey ne l'ayant pas entendue venir, sursauta?

— Oui… oui… ça va, c'est bon, oui c'est bon.

— Mais qu'est-ce qui t'arrive.

Zoey éclata en larmes et se jeta dans les bras d'Amber.

— C'est terrible, terrible, ce qui se produit Amber, je crois que je t'aime.

— Sèche-moi ces larmes, je t'aime aussi.

— Mais pour Vanity… je ne comprends plus rien…

— Tout va se replacer dans ta tête. Fais-moi confiance.

— Comment je fais maintenant, je sais tout et Vanity non?

— Laisse-moi régler la situation, tu verras tout se passera bien.

— Toujours bien pour les autres, Amber, et rien pour toi, c'est ça, hein! Jamais rien pour toi!

Comme Vanity s'éveillait, Zoey essuya ses larmes et servit le café à Amber. Vanity, dans une forme exceptionnelle, avala le plus immense petit-déjeuner qui soit, sous le regard amusé d'Amber. Vanity lui frappait régulièrement la jambe, l'incitant à se la fermer. Zoey sortit rapidement, prétextant une tâche à l'écurie. Amber et Vanity se retrouvèrent seules. Amber repensa aux dernières paroles de Zoey. Elle se sentait soudainement à la fois aimée et engueulée. Zoey assimilait rapidement. «Toujours rien pour toi, se rappela Amber»

***

— Alors mesdemoiselles, le camion sera là d'ici quelques heures.

— Merci, Troy, répond Christina. Nous devons nous rendre chez une dame Cartridge pour la couture des velcros. Nous devrions être de retour d'ici quelques heures.

— Voici un sac qui contient tout ce dont vous avez besoin.

— Tu es un ami, Troy, encore merci, chuchote Christina lui faisant la bise, sous le regard questionneur d'Elitrra.

***

— Tu gardes tout pour toi, n'est-ce pas Amber…

— Comme toujours, foudroyante Vanity.

— Dis, c'est normal que je me sois quasiment évanouie hier?

— Bien... jongla Amber un moment, tu fais partie d'une catégorie de femmes particulières.

— Si tu traduisais, jolie sirène?

— Bien, tu éjacules, tes orgasmes sont plutôt puissants.

— Là, je ne comprends toujours pas…

— Les hommes éjaculent leur sperme, j'imagine que tu sais.

— J'suis pas sotte tout de même.

— Alors toi, c'est la même chose. Ton vagin éjecte un liquide et tu tombes en convulsion. Il faut juste le savoir. J'ai pris grand soin de toi et tu t'es assoupie.

— Ah ça alors, tu es sérieuse. C'était la première fois Amber, c'est sûrement pour cette raison.

— Peut-être, mais je crois que ça fait partie de toi. Au fond, c'est génial. Il faut juste prendre le temps de t'apaiser, par la suite.

— Tu m'aimes Amber?

— Mais si, Vanity, beaucoup, et tu m'as drôlement fais jouir.

— Pour vrai, t'as aimé mes caresses.

— On a gueulé comme des folles.

— Non! Ils ont tous entendu, alors?

— J'en ai l'impression. Tu fais comme si de rien n'était. Tu as droit à ta vie. Au fait, avec tout ce qui survient, j'en oublie de retrouver ma famille. Tu m'aides toujours.

— Bien évidemment, mais… heu… tu me masturberais une petite fois, s'il te plait, ensuite je contacte Sam. Il existe sûrement une personne, assez âgée, qui pourrait nous aider dans nos recherches, le style qui aurait passé sa vie à Valentine.

— Vanity écarta les jambes. Elle ne portait pas de slip sous son short. Amber lui offrit un petit orgasme. Enfin petit étant un terme relatif...    

  • Initiation rapide de Vanity et Zoey ! Elles sont très motivées ! J'avoue que je languis des scènes d'action. Mais je pense que ça ne va pas tarder !

    · Il y a presque 8 ans ·
    Mojitoo

    thesecretgardener

  • Tout est relatif, et l'Uzy aussi. J'aime.

    · Il y a presque 8 ans ·
    Philippe effect betty

    effect

    • j'adore aussi ce rafalleur. Je l'utilise tjrs dans mes romans (polar) perso ^^

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • le micro, et un 32 balles en chargeur ^^^

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • C'est sans doute le perso et le rafalleur qui font que le 32 balles.

      · Il y a presque 8 ans ·
      Philippe effect betty

      effect

    • ce que tu es con (ici c'est un mot cool) un chargeur de mini-Uzi fait au max 32 balles. Le perso n'a rien à voir avec ce que je crois que tu crois :-))

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • le texte est excitant pour un mec?

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • Putain la vache ! Moi qui croyait qu'avec un peu de son j'allais retourner la terre entière pour un cheval et 32 balles !

      · Il y a presque 8 ans ·
      Philippe effect betty

      effect

    • je te suggère une moto:-)) pour retourner la terre, ben là je te laisse le tout entre les mains (hihihi)

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • Pour un mec, tout est facile....

      · Il y a presque 8 ans ·
      Philippe effect betty

      effect

    • Amber va me foutre sur la gueule !

      · Il y a presque 8 ans ·
      Philippe effect betty

      effect

    • mais non, Amber elle ne te fera rien, je vais causer avec elle^^^^ tu vois, je suis gentille non...

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • Oui, gentille me convient !

      · Il y a presque 8 ans ·
      Philippe effect betty

      effect

    • que gentille^^^te voilà à te satisfaire de peu, mon gars

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • J'anticipe le réchauffement... j'y vais mollo !

      · Il y a presque 8 ans ·
      Philippe effect betty

      effect

    • on ne joue plus du lapin là^^

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • Le lapin c'est comme les chevaux...ça boit sous un arbre.

      · Il y a presque 8 ans ·
      Philippe effect betty

      effect

    • :-))

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

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