Croquis Cabourgeais
ezio-shulsky
Cabourg-couche-toi-là,
Fleurs bourgeoises de bikinis peintes par les réformés à l'iode Pharmaceutical Plus de
L'édition quatre cent cinquante et un
Millilitres puritains, cyclopéennes thermales aux calves- cascatelles et des lampées
Bleuâtres et des grâces emmaillotées de rose et les cubiques feux et les pintes à
Sentiments , après consultation asexuée du petit Robert de Mesnil, lunatique éveillé aux
Fahrenheits cambrés de lassitude , que ne te reprends tu pas maraud le bougre de son
Empire carcéral s'en fut d'absinthes Dieu aient leurs âmes aux Empyrées, directeur de
l'institut Hôtelier plagié dit des Sybaritines très lascives l'homme portait la médiocrité haut et
Le complet inepte rôtissant l'amertume industrieuse des années à procréations de lumière il se dédia à
L'attentat des boursouflures du Soleil passible de dérisions Beckettiennes, je te les
Donne, mes glapissements, anglicanes et frustrées que je projette, Henri ô n'ensablez
Votre mère , météores de cécité, -Oedipienne déglutition de sel- ensuivant maréchal,
Potions de corps, Délibérée sur les pores Lutéciens, l'aristocratie crémée du diktat
Sensualo- tyrannique, à
L'esthétique mécréantes- mes sauvageonnes,
Où se cèlent elles ?
Les contenues disconviennent de gorges apyres à l'amour et chevelées de mousse et
Mordillent l'enfance technologique augustinienne des provinces côtelées de l'ébullition
Provinciale jouxtant amoureusement un Gaulliste molli par le tourisme nuptial aux longs
Flancs d'une
Décade Danse
Que celle de L'Aliteur,boîte vespérale, brassant chairs concassées depuis quelques dizaines
D'années maintenant pavanant décadences et pestilence dans lescages stuprées
nacrées pourpées, contouréessauvagement proche
De La " Geignasse sur Mer", bar tenue et rancie maison par Palissandre Unètre, grouillotte
Adipeuse d'inculture revenons
Ne ne nous nous ne vous, noyez, noyons, guère, ils noyèrent
Ecoutez et conjuguez, cette Pandore des désuétudes contenait un Matériel Haute Teck
Nonobstant l'acier farfouillait les poches de chaque apode atrophié, l'abysse plate sur les
Têtes casquées d'inconstance, les moirés de tubes , requiems d' Euterpe crémant
La production traditionnelle vomie de Lomotitos et interprétations sauvages de
L'hédonisme impressionné Sénèque glapirait sa modestie de substitution sur son
Coussin Sorbonnard, aux confins de ces couches sonores de bétons parcellaires
Aux yeux éprouvant pellicules effilochées de désirs, officiaient
Des hoplites bouillis de ferraille bâtiments torrents noirs ciments coulures leurres
Jettent leurs bras vermoulus griffant atrophiant dégorgeant de toute butte constellée de
la candeur de la feuille vibratile de ses survivances criardes vers les dédaigneux et
arrogants si souillés à ne plus pousser la Belle Proust d'époquevers les à pièce de viande ,
Decadentismepouponneux pour esse,
Grand hotel croquant le sol des racines
Balbec d'albatros alanguis, lataille "candeur gouttelée de la jouvencelle" est indisponible
Elle fut soupapée par les industries de la villégiature, Rouage six rue des six provocations
Des Diogènes de Chanel en exhibitionnistes Tzaristes, veulent les succubes de Dior, flattent les
Sphérielles Extensions révolutions lasses poses cheveux fichus
Casino piquant le bleu par dessus au passages des Désirades,
Dernier roman d'illuminé, sur la droite édentée et croupissante
La Reine fleurie pétale le dyonisaque
La Canaille balbutie sa vulgarité dans un boudoir mi -décadent miséreux
Les balnéaires Cultivés
Je m'élance de vos Sturm et barbotte sur les innombrables unions de la plage.
Ce portail touristique ravit avec sourires et l'on se prend à rêver au temps jadis où Guillaume le Conquérant accosta sa flottille...
· Il y a environ 14 ans ·mlpla
je ne peux pas dire que j'ai tout compris, mais cette carte postale est originale, pleine de fougue et il en résulte une lecture somme toute très jouissive, une balnéothérapie bien ironique.
· Il y a environ 14 ans ·ristretto
Je PRÉFÈRE LE PRÉCÈDENT TEXTE MALGRÉ TOUT CELUI-CI EST JOLIMENT ECRIT
· Il y a environ 14 ans ·Remi Campana