Cyrielle de Lancey - AQMI Maroc
tinville
SYNOPSIS
- Au terme de son footing au Bois de Boulogne, Cyrielle rencontre son supérieur hiérarchique, le Commandant Rolland qui lui fait part de sa nouvelle mission : démanteler une base arrière d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI) au Maroc, soupçonnée de préparer des attentats contre le consulat français à Marrakech, d'après les informations recueillies conjointement par le service du renseignement de la DGSE et des services secrets marocains, la DST.
Cyrielle devra travailler en étroite collaboration avec Abelkahder Khalfi, dit Abdel, un agent de la DST marocaine.
- Cyrielle passe une dernière nuit rue d'Auteuil à son domicile parisien en compagnie de son amant Kevin
- Elle prend l'avion pour Marrakech et fait une escale à Marseille afin de passer quelques heures auprès de son père Charles-Edouard.
- Pendant ce temps, à Marrakech - Abel rend visite à sa maitresse Yasmina, propriétaire d'une galerie d'art.
- Dès son arrivée à l'aéroport Marrakech Ménara, Cyrielle loue une Peugeot 206 et gagne son hôtel -
Elle y fait la connaissance d'Abdel qui lui livre ses dernières informations, la présence signalée sur le sol marocain, de l'émir Mokhtar Belmokhtar
AQMI est divisée en plusieurs phalanges très mobiles, les katibas, organisées autour d'un chef, l'émir
Le chef de la katiba de l'Ouest est l'Algérien Mokhtar Belmokhtar, alias Kaled Abou El Abbas, alias "Mister Marlboro" du fait de son implication dans la contrebande de cigarettes
- Lors du dîner organisé par le consul au consulat, Cyrielle fait la connaissance de Gontran, attaché d'ambassade à Rabat, et qui doit prendre l'avion pour Paris le soir même.
Abdel doit s'absenter avant la fin du repas suite à un coup de téléphone de l'un de ses informateurs
Cyrielle propose à Gontran de le raccompagner à l'aéroport
Samira, employée de maison chez le Consul, prévient Karim que c'est Cyrielle qui va raccompagner Gontran à l'aéroport à bord d'une 206
- Cyrielle conduit Gontran à l'aéroport (scène érotique)
- Après avoir déposé Gontran devant l'aéroport, celui-ci est assassiné quelques instants plus tard par deux hommes cagoulés à bord d'un scooter, Samir et Youssouf, un Marocain venu d'un camp basé au nord du Mali, et dont la mission est de créer une base arrière au Maroc.
AQMI revendique l'assassinat de Gontran par le biais d'un tract laissé sur les lieux du crime
- Grace à son informateur, Abdel informe Cyrielle que deux hommes doivent livrer des armes le lendemain.
Cyrielle suit les deux hommes en voiture jusqu'à la Place Djemmaa El-Fna où un échange de coups de feu a lieu et où l'un des deux islamistes - Samir - est abattu dans la Médina (scène d'action). Le second, Karim, réussit à prendre la fuite.
- Elle est invitée par Abdel chez Yasmina dans sa galerie d'art pour un vernissage - Elle y fait la connaissance de la jeune femme qui ne cache pas son attirance pour elle avant d'entrevoir Karim. Elle découvre qu'il n'est autre que le frère de Yasmina. En fouillant la chambre de Karim située au-dessus de la galerie, Abdel et Cyrielle trouve un tract similaire à celui laissé sur l'aéroport ainsi qu'une photocopie d'une page d'agenda indiquant un rendez-vous à l'hôtel la Mamounia le lendemain
Yasmina pense que son frère a pu se réfugier chez sa petite amie Samira.
Samira est sans aucun doute complice. Cyrielle informe le consul qu'un attentat se prépare contre sa personne lors de sa viste à l'hôtel la Mamounia
- Yasmina, Abdel et Cyrielle se rendent au studio de Samira où se cachent Karim, Youssouf et l'émir
- Youssouf élimine Yasmina puis Karim, avant d'assommer Cyrielle et de prendre la fuite en compagnie de l'émir
- Le Consul se rend à l'Hôtel la Mamounia.
Youssouf est à son poste, prêt à l'abattre mais Cyrielle arrive à temps et élimine Youssouf. L'attentat est déjoué mais l'émir réussit à prendre la fuite.
- A l'aéroport de Marrakech Ménara, avant de prendre son vol retour sur Paris, Cyrielle jette un oeil sur la télévision d'Etat d'où le Ministre de l'Intérieur marocain annonce triomphalement le démantèlement d'une cellule d'AQMI Maroc.
Personnages français :
Le Commandant Rolland
Charles-Edouard, le père
Kevin, l'amant
Gontran, attaché d'ambassade
le Consul Jean-René Durand-Rival
Personnages marocains :
Agent de la DST marocaine : Abelkahder Khalfi dit Abdel
Sa maîtresse : Yasmina Tarik, propriétaire d'une galerie d'art
Samira, domestique chez le Consul
Karim, frère de Yasmina
Samir, tué sur la place par Cyrielle
Youssouf Abdelhakim, le responsable d'AQMI Maroc
Mokhtar Belmokhtar, l'émir
SCENE EROTIQUE
Cyrielle s'installa au volant de la 206 et Gontrand s'installa à ses côtés après avoir jeté sa veste sur la banquette arrière du véhicule.
A peine avaient-ils parcouru quelques centaines de mètres que Cyrielle sursauta en sentant la main de son passager se poser sur son genou découvert.
La main remonta lentement le long de la jambe dénudée, atteignant la couture de la robe bleu émeraude relevée jusqu'à mi-cuisses.
Cyrielle se tourna vers Gontrand et leurs regards complices se croisèrent.
Les doigts de Gontrand crochèrent sous le mince tissu, atteignant l'aine.
Découvrant que Cyrielle ne portait rien sous sa robe, Gontrand s'enhardit.
Ses doigts caressèrent furtivement le mont de Vénus à demi rasé avant de venir se reposer sur le sexe de la jeune femme qu'il enveloppa tout entier de sa main.
Puis, poursuivant son chemin, il écarta de deux doigts les lèvres béantes, humides de désir.
Cyrielle se mordit les lèvres lorsque le médius se posa sur son clitoris dressé.
Les doigts de Gontrand courraient désormais le long de la vulve et Cyrielle avait de plus en plus de mal à garder son attention
au volant.
Décidant subitement de mettre fin à son supplice, elle repéra une place libre à deux pas du Pavillon de la Ménara et y gara son véhicule.
Elle coupa aussitôt le contact et se tournant vers Gontrand, écrasa ses lèvres contre les siennes.
Tandis que sa langue s'activait, sa main gauche fit glisser le zip de la fermeture éclair du pantalon du jeune diplomate, en extirpant un membre déjà droit comme un i. Ses doigts se refermèrent autour de la hampe et se mirent à aller et venir le long de la colonne de chair qui ne cessait de grandir sous l'effet de sa caresse.
Lorsque le résultat lui parut satisfaisant, Cyrielle s'installa côté passager et s'assit à califourchon sur Gontrand.
De sa main, elle guida elle-même le membre turgescent vers son propre sexe et s'empala sur lui jusqu'à la garde avec un soupir de plaisir.
Les mains de Gontrand pétrissait les fesses fermes et musclées de Cyrielle, la robe enroulée autour des hanches, et se contentait d'accompagner de longs coups de reins réguliers les larges mouvements de croupe de sa partenaire.
Cyrielle, tantôt clitoridienne, lorsqu'elle se retirait presque entièrement pour faire courir le gland majestueux le long de son clitoris, tantôt vaginale, lorsqu'elle laissait le membre la pénétrer au plus profond d'elle-même, imposait son rythme aux ébats. Ses ongles s'enfoncèrent dans les épaules de Gontrand tandis que sa respiration devenait de plus en plus haletante.
Elle donna encore quelques ultimes coups de reins avant de hurler de plaisir en s'affalant sur Gontrand, le couvrant de baisers, ce qui eut pour effet de faire jouir à son tour ce dernier.
Elle rouvrit les yeux, le temps de voir les deux phares d'une voiture se rapprocher d'eux et ralentir. La police marocaine !
- Les flics ! hurla-t-elle, soudain paniquée.
En un clin d'oeil, elle reprit sa place au volant, lissa sa robe et boucla sa ceinture de sécurité tandis que Gontrand, les joues en feu, se rajustait tant bien que mal. Le véhicule de police s'arrêta à leur hauteur et Cyrielle afficha son plus beau sourire pour répondre aux regards interrogateurs des deux policiers marocains. De nouveau très digne, Gontrand exhiba sa carte de diplomate ce qui eut pour effet de faire reprendre paisiblement sa route au véhicule de police.
SCENE D'ACTION
La Mercedes se déporta brutalement sur sa gauche pour doubler une charrette circulant au mileu de la chausée, conduite par un pauvre bougre quasi centenaire et tirée par une mule qui devait avoir le même âge.
A cet instant, Cyrielle comprit qu'elle avait été repérée et jura intérieurement.
Depuis un moment déjà, le plus jeune des deux, installé côté passager, ne cessait de se retourner nerveusement dans sa direction.
Dans sa manoeuvre, la roue arrière droite de la Mercedes ne put éviter la roue gauche de la charrette et celle-ci s'écrasa tel un château de cartes, inondant la chaussée de son chargement d'oranges, le tout dans un indescriptible brouhaha.
Cyrielle réussit miraculeusement à son tour à éviter de justesse la carriole, laissant derrière elle un parterre d'oranges dans un concert de klaxons.
Concentrée, elle ne perdait pas de vue la Mercedes qui slalomait à vive allure entre les mobylettes et les piétons.
Ils approchaient de la place Jemaa-el-Fna, point névralgique de la Médina, et la circulation devenait de plus en plus dense et délicate.
Elle fut soulagée en voyant la Mercedes se poser à deux pas de la Koutoubia et en fit de même.
Le conducteur sortit du coffre un sac de sport et se dirigea d'un pas alerte en direction de la place Jemaa-el-Fna, toute proche.
Le plus jeune semblait de plus en plus nerveux, se retournant sans cesse.
Se rendant compte qu'ils n'avaient pu semer Cyrielle, les deux hommes s'enfoncèrent à l'intérieur de la place en trottinant.
Le plus âgé, un grand sec, bouscula un porteur d'eau en costume traditionnel, provoquant un début d'émeute.
Les deux hommes traversèrent les restaurants à ciel ouvert qui dégageaient un halo de fumée chargée d'odeurs de brochettes et de mollusques grillés, le tout mêlé à d'autres odeurs plus ou moins bizarres, pour se retrouver quasiment à l'entrée des souks.
Cyrielle, vêtue d'une paire de jeans, d'un tee-shirt et d'un blouson de cuir léger, chaussée de baskets, se faufilait entre les charmeurs de serpents et les dresseurs de singes.
Jusqu'alors, elle avait toujours eu les deux compères en point de mire, mais elle commença à paniquer en les voyant atteindre l'entrée des souks.
Elle se mit à courir à son tour avant de s'arrêter net au milieu d'une ruelle, se plaquant contre un mur.
A l'angle de la rue, le plus grand des deux pointait son arme sur elle et tira en sa direction. Le sifflement de la balle lui perfora les tympans.
Elle se retourna pour voir un touriste s'écrouler, touché en pleine poitrine.
Bien campée sur ses jambes, les genoux fléchis, Cyrielle s'écarta du mur et riposta. L'homme armé tituba avant de se raccrocher à la paroi d'un mur,avant de glisser lentement sur les pavés de la ruelle, une balle en plein tête.
Sans attendre, le plus jeune se saisit du sac de sport, récupéra l'arme de son compagnon et disparut sur la droite. Cyrielle se lança aussitôt à sa poursuite.
Elle l'ajusta et était sur le point de faire feu à nouveau lorsque deux bambins en costume berbère s'échappèrent d'une boutique de tissu.
Cyrielle n'eut d'autre choix que de relever son arme, laissant l'homme prendre la fuite.
Après une dizaine de minutes de recherche, elle se résigna à revenir sur ses pas, la rage au ventre.
Le bruit des sirènes de police se rapprochaient tandis qu'une foule dense de badauds entourait les corps des deux victimes.
Elle traversa la place Jemaa-el-Fna et retrouva sa 206 où elle l'avait garé. A quelques dizaines de mètres de là, la Mercedes n'avait pas bougé.
DESCRIPTION HEROINE
Cyrielle de Lancey est née en Lorraine, dans une petite ville de garnison située en Moselle, à Dieuze.
Elle est âgée d'une trentaine d'années, mesure environ 1m70, a des yeux verts émeraude, un visage de madone et des cheveux de poupée dégoulinant en boucles brunes sur ses épaules.
Signe particulier : Elle possède un grain de beauté au dessus des lèvres.
Cyrielle est célibataire et habite un deux pièces situé rue d'Auteuil dans le XVIème arrondissement de Paris, un héritage de sa grand-mère paternelle.
Elle entretient par ailleurs une relation complexe avec un ami d'enfance, Kevin, ingénieur dans le nucléaire civil, marié et père de deux enfants, qui ne peut se résoudre à quitter sa femme pour la rejoindre.
Cyrielle possède un corps de rêve, qu'elle entretient grâce à de longues séances de jogging dans le Bois de Boulogne, situé à deux pas de son domicile. Elle ne néglige pas non plus sa musculature qu'elle entretient dans un club de fitness de la Porte Maillot.
Elle est fille unique. Son père, Charles-Edouard, veuf de longue date, est un colonel en retraite de l'Armée de terre, qui s'est retiré après le décès de son épouse dans leur propriété du Sud de la France, située sur les hauteurs de Marseille.
Cyrielle se plait à lui rendre visite avant chacune de ses nouvelles missions, profitant parfois de ses conseils souvent avisés.
Une carrière militaire semblait donc lui tendre les bras, et c'est tout naturellement qu'elle poursuivit tout d'abord ses études à l'école d'officier de Salon de Provence avant de rejoindre l'Armée de l'Air et d'intégrer la base aérienne de Solenzara, en Corse.
Mais très rapidement, Cyrielle se porta volontaire sans une once d'hésitation pour des opérations extérieures et fut envoyée sur le terrain en Afghanistan ou elle s'illustra en tant que commando parachutiste au sein des forces déployées par l'ONU, risquant sa vie à de multiples reprises.
Alertée par ses faits d'armes, la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE), le service de renseignement extérieur de la France, s'intéressa à la jeune femme et lui proposa un poste au sein de son Service Action (SA), composant de la Direction des opérations, chargée des opérations clandestines, avec le grade de Capitaine, sous les ordres de l'énigmatique Commandant Loïc Rolland, son supérieur hiérarchique.
C'est au Bois de Boulogne, au cours de ses joggings, que le Commandant Rolland lui fixe généralement rendez-vous pour lui faire part de ses nouveaux ordres de missions qui ont pour but de défendre les divers intérêts de la France aux quatre coins du monde : démantèlement de réseaux terroristes, de trafics d'armes ou de trafics de drogues ...