Dans la Chaleur d'une Nuit d'Hiver.
elka
Chapitre 1 : L'embouteillage.
Cela faisait maintenant trois heures que les voitures étaient à l'arrêt, l'agitation se faisait ressentir auprès des enfants, Carla et Tony, n'avaient jamais été d'une grande patience, mais notre voiture n'avait pas bougé d'un seul centimètre durant ces quelques heures, que je tentais en vain de combler part diverses chansons et autres blagues. Mon mari, Didier, quant à lui vacillait entre raillerie, moquerie et agacement, je me disais que l'impatience devait être une marque de fabrique chez les Dumont ce qui m'amusa quelque peu.
Quant à moi, Inès, épouse Dumont, je connaissais par cœur la technique à adopter dans les moments les plus longues de mon existence, il faut dire qu'après vingt ans de mariage, avec une vie aussi réglé qu'une horloge, la patience faisait partie intégrante de mes traits de caractère.
Au loin devant, s'étendait à perte de vue un alignement infini de phares rouge d'arrière de voiture, la raison à ce défilé statique mécanique, les intempéries qui avaient décidé de recouvrir la route d'une fine couche de glace et de neige suffisamment importante pour que notre retour de vacance prenne des airs de halte forcée. Mais dans notre tragédie routière, nous avions échoué tout près d'une station d'essence qui nous permettait de nous désaltérer ou d'aller faire nos commissions alimentaires ainsi que nos besoins naturels.
Didier n'y tenant plus décida alors d'éteindre le véhicule familiale, en prenant soin de le placer sur le bas-côté, et de nous emmener diner dans ce que je qualifierait de self inachevé, mais l'essentiel étant de manger et d'occuper les enfants, notre restaurant de la misère ferait très bien l'affaire.
Je me retrouvais à faire la corvée des allers-retours toilettes avant le diner, pendant que mon mari se chargeait de commander à notre place. Et c'est en sortant avec ma fille au moment où on attendait Tony, qu'il fit son apparition.
Il était grand, terriblement grand, si grand que je me sentais menus et minable à ses côtés, il était brun avec quelques cheveux grisonnants sur les tempes, son regard semblait avoir épousé deux couleurs, entre le gris et le bleu, ou était-ce l'éclairage artificiel qui lui donnait cette effet de nuance, il portait un bouc, le visage était fermé, presque illisible, les émotions fermées a doubles tour dans le fond de son âme, maîtrise de soi ou simple tristesse de la vie, je n'en savait rien, tout comme je ne savais rien de lui, mais cela lui donnait un côté énigmatique. Son look sentait l'adolescent qui cherche indéfiniment à pouvoir vivre et revivre ses folles années de liberté, dissimulé sous un ensemble mi- adulte et mi- bon père de famille.
Je restais là imperturbable, en me surprenant à le dévisager, il dut sentir le poids de mon regard sur son corps qui s'attarda un moment sur son postérieur et avant de disparaitre de mon champs de vision se tourna et m'offrit ce que je qualifia à mes yeux comme étant le plus beau sourire qu'un homme puisse avoir, un alignement de dents bien blanches qui me donna l'impression qu'elles furent une invitation à la séduction, je fût très vite ramener à la réalité de ma vie part les plaintes de mon fils m'indiquant l'insalubrité des toilettes.
Après avoir ramené mes jumeaux auprès de leur père je sortis pour fumer une cigarette. Je fouillais l'intérieur de mon sac à la recherche d'un briquet, lorsque soudainement une voix masculine rauque et suave m'extirpa de mes fouilles, c'était lui la, posté devant moi, à me tendre une cigarette d'une main et son briquet de l'autre. Je refusais la cigarette mais accepta volontiers la flamme qu'il me tendait. En plus de pouvoir me rendre compte de la beauté de cet individu, j'eus le privilège et d'entendre sa voix et de m'imprégner de son odorat, comme il sentait bon, cela ne pouvait être que du Dior, il ne devait pas être homme à se contenter d'un vulgaire parfum de grande surface et je considérais qu'il le méritait, déposer un après-rasage bon marché sur la beauté grec de ce Dieu de la magnificence tombé en perdition parmi les pauvres mortels que nous sommes. Je ne voulais pas lui faire voir combien je le trouvais beau, combien il me plaisait, combien sa présence me plaçait dans un état de rêve éveillé, rêve dans lequel je me surpris moi-même à y voir défiler toute sorte de fantasmes plus torrides les uns que les autres … je n'arrivais plus à maîtriser mes désirs de femme, alors je me ressaisis très vite et rejoignis ma réalité de mère de famille.
Chapitre 2 : Les présentations.
Le repas touchait à sa fin, lorsque Didier s'écria le prénom de son meilleur ami au beau milieu du pseudo restaurant.
Henry, ami d'enfance de mon époux, marié à une femme de 15 années de moins que lui, remariage parfaitement réussi contre toute attente, dont le lien de leurs enfants respectifs renforçait ce qui était déjà suffisamment solide. Je laissai mon mari et son ami d'enfance à leurs retrouvailles.
Je sortis prendre l'air et malgré le fait d'avoir équipé mes pieds avec les bottes de montagnes je ne maîtrisais absolument pas le mélange hivernal, neige et verglas et c'est en me voyant frôler la chute que mon bel inconnu se précipita vers moi afin de me proposer son aide, que j'acceptai sans hésiter.
Il avait fière allure, une veste de cuir noir ouverte sur un pull blanc à gros col, un pantalon noir dont je distinguais difficilement s'il s'agissait d'un jeans ou d'un pantalon de ville, et des bottes noirs à bouts carrés, il avait une telle prestance que je me sentais tout droit sortie de mes fourneaux avec ma vieille doudoune rose bonbon ainsi que mon jeans bleu entré dans mes bottes de montagnes. Nous marchions côte à côte, nous racontant vaguement la raison de notre naufrage routier, lui revenait d'un voyage d'affaire et avait opté pour la voiture pensant que le train le retarderait à cause de la météo, cela en aurai presque été drôle si ça n'avait pas été si lamentable de nous retrouver ainsi bloqué sans avoir de plus amples informations concernant notre séjour forcé au bord de cette quatre voies.
Il se prénommait Mathias, il avait mon âge, était marié et père de famille, et son métier consistait à sillonner la France, parfois quelques Pays Européens, à la recherche de nouveaux clients pour son entreprise de sécurité. Je n'avais pas spécialement compris en quoi consistait son travail, mais l'écouter parler était un vrai régal pour les oreilles, tant sa voix était rauque et suave, savoureux résultat du fumeur de longues durées.
Pendant que je discutais avec lui, je le sentais me dévisager de la tête aux pieds et je savais que son regard n'avait rien à voir avec celui de l'homme passionnément intéressé par mon récit, bien pauvres en rebondissements et en anecdotes extraordinaires, mais plutôt d'un regard de découverte, tentant vainement de retirer les couches épaisses de vêtements qui recouvraient la totalité de mon anatomie, jusqu'au bonnet ridicule, qui recouvrait ma chevelure blonde.
Nous nous retrouvions donc, Mathias et moi-même, à discuter de tout et de rien, comme si nous nous connaissions depuis toujours. Je ne pouvais m'empêcher de me dire que sa femme avait beaucoup de chance d'avoir un homme avec autant de classe, ce qui très vite me ramena à la réalité et me fit me rappeler que moi aussi j'avais une moitié qui m'attendais. J'expliquai à Mathias que je me devais d'aller rejoindre les miens le temps de pouvoir installer mes enfants puis nous convenions de nous rejoindre dans le coin pause-café de la station qui exceptionnellement avait toléré quelques fumeurs tout en prenant soin d'aérer les lieux.
Mon mari se fit proposer par son copain de nous accueillir dans son camping-car, garé plus haut sur le bord de la route.
Je savais pour l'avoir déjà vécu, que la soirée serait surement arrosée d'une bonne bouteille de vin et de quelques cigares, Henry et Didier vouant la même passion pour les bonnes choses futiles de la vie. Je savais aussi que la femme d'Henry et moi ne partagions rien en commun et qu'il ne servirait à rien que je m'oblige à veiller auprès d'eux, tout comme je savais que mes enfants ne mettraient pas longtemps à s'endormir tant la journée et la soirée furent usantes à vivre.
Je savais aussi, que quelque chose ou plutôt quelqu'un m'attendait en dehors de ce cercle amical et je n'avais qu'une envie, fuir, partir, sortir le rejoindre.
Chapitre 3 : Les retrouvailles.
Je profitais du sommeil de mes enfants et de la discussion interminable des deux hommes, de notre hôtel roulant, pour m'éclipser rejoindre Mathias.
La neige refit son apparition, elle tombait à gros flocons qui s'imprégnaient déjà à l'épaisse couche blanche qui recouvrait tant le sol que l'on ne distinguait plus les trottoirs de la route. J'avais beaucoup de mal à garder les yeux ouverts pour m'orienter en direction de la station, refuge de mon idylle imaginaire, ou je savais malgré tout qu'un simple mot de sa part et je me sentirai dans la capacité de faire ce que l'on appelle singulièrement l'adultère mais que j'avais moi, envie d'appeler rendez-vous des naufragés fait pour se rencontrer.
Et il était là, il m'attendait à l'extérieur la neige lui tombant sur ses cheveux gris
argent, un doux sourire posé sur les lèvres, comme il me semblait encore plus beau et plus grand dans la façon de se tenir. Je voyais le regard des autres femmes se poser sur lui et je me sentais à la fois flatter de savoir que c'était moi qui avais été l'élue de la soirée mais curieusement jalouse de ses regards accentués de sourire. Bizarrement il n'avait d'yeux que pour moi, étrangement il me donnait l'impression de ne voir que moi, nous nous retrouvions comme dans une bulle où personne ne pouvait y entrer, le reste du monde n'existait plus, seul les flocons étaient les bienvenus.
Avant même que je n'arrive à l'atteindre, mon portable se mit à vibrer dans la poche de mon duvet corporel, c'était Didier qui voulait savoir ou je me trouvais, visiblement il s'était rendu compte de mon absence, la bouteille ne devait pas encore être entamé, je dus lui expliquer que j'avais besoin de me donner un coup de nettoyage sur le corps que je sentais lourd de transpiration, il me fit remarquer que le camping-car avait ce qu'il fallait pour, je trouvas l'excuse de rebondir sur le fait que je n'avais pas mes produits de toilettes avec moi et qu'il était plus facile d'aller de la voiture à la station pour me laver, plutôt que de la voiture au camping-car qui se trouvait trop éloigné l'un de l'autre. Comme une prédilection à ma soirée j'en profitai pour lui indiquer que s'il ne me voyait pas revenir c'est que j'avais fait le choix de rester dormir dans la voiture vu qu'il n'y avait pas assez de place dans leur camping-car. Il semblerait que mon alibi fonctionna très bien puisque mon cher et tendre époux n'insista pas et me dit simplement de faire attention à moi et de le rappeler si j'envisageais de dormir dans la voiture. Un seul être vous manque et tout est dépeuplé…pas toujours vrai.
Je raccrochai mon téléphone lorsque je le vit se diriger vers moi, je sentis que je ne pouvais pas faire un pas de plus, sa présence me figea, sa prestance me bouleversa son sourire me mit en joie.
Il me proposa sans retenu d'aller à l'intérieur en m'indiquant qu'il avait repéré un coin plutôt calme dans le fond de la cafétéria, je me réjouis intérieurement à l'idée qu'il avait pu penser à ce genre de petit détail. Nous repartions donc tous les deux dans le sens de l'abri, endroit médiocre qui prenait soudainement des airs de paradis idyllique. Il me proposa son bras pour me cramponner afin de ne pas tomber ce qui je fis sans hésiter, c'était pour moi l'occasion rêvé de pouvoir le toucher et je sentis malgré l'épaisseur de sa veste de cuir, la puissance de ses muscles, la solidité d'un corps d'athlète si vigoureusement entretenue.
Chapitre 4 : Les naufragés d'une nuit.
Nous nous attablions dans le coin le plus en retrait du restaurant qui servait encore quelques repas aux derniers arrivants. Il me racontait tout ce qu'il avait pu vivre dans sa vie et je me retrouvais là devant lui à boire ses paroles aux divers récits plus passionnant les uns que les autres, mais il prit quand même le temps de me parler de son fiasco de mariage qui pour lui, à ce jour n'était devenu qu'une simple mascarade maritale ou seul l'administration lui rappelait qu'il était homme marié.
Puis vint les questions plus personnelles, plus intimes, celles que l'on ne poserait jamais et dont on ne répondrait jamais dès le premier soir à un inconnu de passage.
Mais je savais pertinemment que je ne pourrai lui mentir sur mes intentions le concernant, il avait ce quelque chose d'énigmatique ce quelque chose qui fait que sans savoir pourquoi ou comment on se donnerait à lui en se perdant aux plus profond de son être et de le laisser entrer aussi loin que possible dans mon âme, « toi et moi tant de possibilités infinis qui ferait de cette soirée, certainement la première et dernière soirée de rêve de ma vie. »
Mathias finit par avouer que je ne lui étais pas indifférente et pendant qu'il parlait je retirai délicatement mes vêtements en commençant par cette doudoune qui me comprimait et c'est alors qu'il faisait l'éloge de ma beauté et de ma délicatesse que je le surpris se figer pour me contempler avec tant de désire dans son regard qu'il m'était impossible de le nier. Je balayai ma longue chevelure blonde, sur les épaules de mon chemisier blanc assez transparent pour laisser apercevoir mon soutien-gorge noir sous mon vêtement. Je notai la descente de son regard sur ma poitrine et je me sentie rougir et flatter à la fois.
Je me rassies et alors que je tendis la main à ma tasse à café, Mathias l'attrapa au vol et commença à jouer tout d'abord avec mes doigts pour ensuite laisser glisser son index sur la paume de ma main. Je levai les yeux et lui tint tête dans son regard, je le vis faire une légère mimique qui donnait l'impression de dire…à quoi bon se prendre la tête alors que nous en avons envie l'un et l'autre.
Alors que je me sentis pousser des ailes au point de faire le premier pas, les lumières du plafonnier s'éteignirent, seul l'éclairage du côté sanitaire éclairait encore un peu les lieux, nous nous retrouvions donc plongés dans une ambiance à la lueur du romantique sans même avoir fait l'effort de le demander.
Il n'y avait plus personne que nous, et là où nous étions il aurait été difficile à quiconque de pouvoir nous apercevoir.
Je mettais assise sur le rebord de la table, il se tenait debout devant moi, nous étions si proche l'un de l'autre que je pouvais entendre les battements de son cœur qui étrangement furent aussi saccadés que les miens. Ayant retiré son pull, je lui déboutonnai sa chemise tout en prenant soin de ne pas perdre son regard du mien. Le spectacle qui s'offrait à moi me confirma qu'il était homme à faire du sport. Un torse pas trop poilu, des abdos aussi présents que palpables, un grain de peau à la fois doux et épicé agrémenté d'un parfum aux senteurs boisées.
Alors que mes mains parcouraient son torse viril, les siennes ne purent s'empêcher de se promener sur ma poitrine charnue, je sentais le bout de mes seins se durcir…appel fugace à une demande de désir…
Je m'approchais pour commencer à effleuré son corps de mes baisers chauds et humides, j'avais le gout de son parfum sur la langue. Mes mains semblaient beaucoup moins pudiques que moi, et c'est sans hésitation qu'elles commencèrent à lui retirer sa ceinture ainsi que les quelques boutons qui me séparaient de son anatomie masculine.
Je découvris son sexe, il était long, de belle taille avec un gland généreux, il sentait lui aussi le parfum, ce qui me fit sourire. Je n'arrivais pas à détacher mon regard de son membre, je le pris à pleines mains ce qui provoqua un léger gémissement de la part de mon amant. J'approchai délicatement le phallus à ma bouche, je commençai par déposer ma langue sur le bout de l'arrondi sexuel, qui telle une grosse cerise ne demandai qu'à être savouré. Ma salive glissant le long de son membre, je le pris à pleine bouche et je vis le regard de Mathias s'abandonner, léger mouvement de va et vient buccal aidé de son jeu de bassin prenant ainsi ma bouche pour un orifice de jouissance. Je sentais l'envie me tirailler les tripes, j'avais l'envie folle qu'il décide de me déchirer les vêtements et qu'il m'allonge sur la table afin de me donner le plaisir suprême de notre soirée adultérine.
Soudain il décida de prendre les choses en mains et alors que je ne faisais que commencer l'acte, il m'allongea et fit glisser mon pantalon en bas de mes jambes. Je le sentis d'abord effleuré mon intimité et je le vis même la sentir comme s'il cherchait à s'imprégner de mon parfum sexuel.
Je le regardais faire je ne voulais rien raté de ce qu'il se passait entre nous, il n'était pas question que je prenne tous ces risques pour fermer les yeux et ne garder que des ersatz de souvenirs. Il se mit à me laper le sexe comme un animal qui avait besoin de se nourrir de sa proie et tout en me caressant de sa langue, il m'agrippa les hanches et me força à bouger le bas de mon corps avec une violence inouïe. Je sentis l'intérieur de mes entrailles se contracter et alors que je commençai à laisser échapper quelques gémissements, il me pénétra de son majeur droit à la recherche de mon point G.
Oh oui, il avait trouvé ma perle noire, il la caressa avec tant de délicatesse et de facilité que j'eus l'impression qu'elle lui était destinée. Je me tortillais, me cabrais, m'offrait à lui sans retenue, je le voulais, je le désirais, oui qu'il prenne mon corps de suite, qu'il m'imprègne de sa virilité animal et bestiale. Je sentis une chaleur me parcourir le ventre suivit de quelques spasmes incontrôlés, je m'abandonnais dans sa bouche et je sentis quelque chose de chaud et liquide se libérer de moi, l'orgasme fut si profond que je lui aspergeai le visage de jouissance.
Mathias m'attrapa avec une violence qui le fit peur durant quelques instant et me retourna sur la table, je me retrouvais à plat ventre partagé entre le désir d'être prise et l'angoisse de ce qu'il envisageait de me faire. Mais en gentleman qu'il était, il se ressaisi et d'une façon aussi délicate qu'on le pouvait, fit pénétrer son sexe dans le mien, « à pecorina »...mot italien pour désigner la levrette.
Mouvement de va et vient en synchrone avec les miens, Mathias et moi ne faisions plus qu'un, deux corps emboités à se donner mutuellement du plaisir, il allongea un peu plus son torse sur mon dos comme pour me communiquer son plaisir, la cadence se fit plus rapide, plus forte, plus intense, plus bestiale puis nos gémissements d'apothéoses déchirèrent le silence de la nuit.
Elka.
Il y a du potentiel, continue à travailler dessus, ça peut faire une bien belle histoire.
· Il y a plus de 9 ans ·(même remarque que précédemment sur la relecture...)
wen
Oui ceux sont des textes faits à la même période, j'en ai d'autres je vais sans hésiter relire pour les fautes, même si je n'aime jamais relire ce que j'ai écrit une fois..lol...et quand tu me conseilles de continuer à travailler dessus, tu parles du texte ci-dessus?
· Il y a plus de 9 ans ·elka
Oui. Si tu as le temps et le courage, reprends-le, travaille les enchaînements, la dernière partie est trop courte. Fais ressortir la vacuité de sa vie avec son mari.
· Il y a plus de 9 ans ·Imagine une suite aussi. Comment va-t-elle réagir après cette aventure ? etc.
wen
Ok... merci du conseil, et c'est pas idiot, j'étais limitée à l'époque ou j 'ai écrit ce récit (c'était pour le site d'un type) il ne souhaitait qu'un certain nombre de chapitre et je suis entièrement de ton avis pour la fin.
· Il y a plus de 9 ans ·elka