Dans ton miroir
Aloysius Isidore Dambert D'eaucloret
Coquine ! Tu te regardes, mutine, dans ton miroir.
Tu danses des hanches, ton bassin divin se balance.
Un court pagne à la taille d'une délicatesse exquise,
Ce coupon d'étoffe ne casse rien ta sublime anatomie.
Tu joues devant la glace, cheveux défaits, tu es en feu.
De caresses lascives, tu couvres ton corps flamboyant.
Tes mignons tétons ronds-pommes dardent d'excitation.
Tes mains écrouent ta poitrine, te mirant dans la psyché.
Le fin tissu tombe délicatement sur la pointe de tes pieds,
Dévoilant tes belles fesses, harmonieusement arrondies.
Ta main experte apprécie leur fermeté et leur galbe élégant.
Tes doigts fébriles glissent gracieusement sur ton ventre plat.
Ta patte avance libre et mobile vers le trésor de ton bas-ventre.
Une bouffé de plaisir t'appelle vers ta lisse et douce fêlure.
Tes pouces caresseurs écartent tes belles lèvres, ton écrin rose.
Avec vigueur tu tords ton bouton dans de longs spasmes de langueur.
Cet onanisme heureux, libératoire est beau avoir pense le miroir.
Ce dernier rencontre alors ton regard et tes yeux sont enfiévrés.
A cette vue, lui généralement de glace se surprend à s'embuer.
Rien n'est plus excitant que le regard d'une femme qui se trouble.