DE LARMES ET DE BRÛLURES
mysterieuse
De tes baisers les plus osés
Sur ma peau douce et parfumée
Je ne préfère que les humides
Chargés de vice et de malice
Ces lourds murmures en intuitions,
Morsures félines et amoureuses
Qui concrétisent nos émotions.
Tu m’aimes chatte libidineuse
Je t’aime amant voluptueux
Fragile félin, docile capture
Du rouge carmin de mon épure
De ma sanguine silhouette.
Entre mes cuisses c’est le brasier
Le décor inversé d’une vie sans danger.
Ton regard qui coulisse
Tes yeux mornes qui s’y glissent.
Tu brûles tes iris dans mes juteuses prémices
Qui exhalent pour toi un parfum de délice.
Tu te sens en péril,
Je t’aime, bouleversé
Lorsque tes doigts s’immiscent
Au cœur de ma fournaise
Viens donc me malmener de ta tige d’ébène
Viens donc me transpercer de ta dague souveraine
Foutre le feu en moi,
M’incendier de tes gènes
Disperser en mon ventre ta puissante indécence.
De mes cris de plaisir
Tu jouis sans vergogne
Alors que de mes larmes
Tu nourris ta besogne,
Ces perles animales d’une louve égarée
Dans un plaisir si fort,
Qu'elle en est submergée.
Étanche ta soif de moi,
Désaltère ton extase aux larmes de mon orgasme,
Au faîte de mon plaisir.
Pourfends-moi de ton âme malfaisante
Au chœur de mon ardente
De tes baisers les plus osés
Sur ma peau douce et parfumée
Je ne préfère que les humides
Chargés de vice et de malice
Ces lourds murmures en intuitions,
Morsures félines et amoureuses
Qui concrétisent nos émotions.
Tu m’aimes chatte libidineuse
Je t’aime amant voluptueux
Fragile félin, docile capture
Du rouge carmin de mon épure
De ma sanguine silhouette.
Entre mes cuisses c’est le brasier
Le décor inversé d’une vie sans danger.
Ton regard qui coulisse
Tes yeux mornes qui s’y glissent.
Tu brûles tes iris dans mes juteuses prémices
Qui exhalent pour toi un parfum de délice.
Tu te sens en péril,
Je t’aime, bouleversé
Lorsque tes doigts s’immiscent
Au cœur de ma fournaise
Viens donc me malmener de ta tige d’ébène
Viens donc me transpercer de ta dague souveraine
Foutre le feu en moi,
M’incendier de tes gènes
Disperser en mon ventre ta puissante indécence.
De mes cris de plaisir
Tu jouis sans vergogne
Alors que de mes larmes
Tu nourris ta besogne,
Ces perles animales d’une louve égarée
Dans un plaisir si fort,
Qu'elle en est submergée.
Étanche ta soif de moi,
Désaltère ton extase aux larmes de mon orgasme,
Au faîte de mon plaisir.
Pourfends-moi de ton âme malfaisante
Au chœur de mon ardente
merci à vous tous ...
· Il y a presque 13 ans ·mysterieuse
Très agréable à lire, merci.
· Il y a presque 13 ans ·lollapalooza
Toujours un plaisir de te lire...
· Il y a presque 13 ans ·saint-james
y a que le regard ? qui coulisse
· Il y a presque 13 ans ·walter-ego