Début du misanthrope sociétaire.
disarmonia
[ Un petit temps que je n'ai pas posté ici, c'est donc pourquoi je vous confie mes projets les plus abstraits soient-ils. Durant mon silence, je me suis permise de profiter de mes vacances et ainsi, de réfléchir à la création d'une nouvelle. Voulant votre avis, je vous laisse découvrir cette sorte de plan descriptif ! À votre lecture, j'attends votre avis avec impatience, en espérant que ça vous plaise. - Disarmonia. ]
Parmi une population pleine d'humilité, un homme sombre et misanthrope faisait de son chemin une vie pleine de solitude. Son sang n'était rempli que de peine, il ne respirait que sa rage. Contre tout mouvement de la société actuelle, Louis n'avait pourtant que vingt-cinq ans et ne voulait aucun obstacle sur la route de son autodestruction. Il avait comme tout le monde un passé, le sien l'avait conduit ici, dans la plus grande des solitudes. Le jeune adulte était d'une famille aisée ; fils du PDG d'une grande firme transnationale, il avait hérité d'un grand pouvoir qu'il avait refusé. Son père fut compréhensif et le laissa vivre dans la demeure qu'il avait mis à disposition quelques années après la majorité de son fils. Mais jusqu'à quand ? Louis, en ermite, ne sortait que rarement et passait sa vie dans le jardin commun armé de son âme ainsi que de sa plume. Il errait au gré du vent dans ses pensées les plus intimes pour finir vide ne se demandent qu'une seule chose : pourquoi était-il ici ? C'est donc après de nombreuses années à posséder pour seul ami une âme errante et à délier ses sentiments par sa plume que le jeune homme se plongera petit à petit dans la population du monde actuel, mais à quel prix ?
J'ai effectué quelques modifications ainsi que des rajouts de phrase, mais ceci ne changera rien au tronc principal de la nouvelle, en espérant que cela vous plaise.
· Il y a plus de 12 ans ·disarmonia
Il veut la "destruction" de qui ? De lui ou de la société ?
· Il y a plus de 12 ans ·J'avoue que c'est un peu flou. Il n'a jamais plongé dans la vie "réelle" et pourtant il "est contre tout mouvement de la société actuelle".
A développer et à suivre. En toute amitié.
Mathieu Jaegert