Dire je t'aime "juste" pour voir l'effet que cela fait…
gun-giant
Comme un jouet, comme une partie de la population "joue" avec tout, va jouer avec vous, avec eux. N'a qu'une anti-loi - s'amuser - olalala que c'est plus que sérieux de se divertir toujours. Nous avons vu que les déshonorés étasuniens "jouaient" à torturer et à tuer en Irâq – sans la moindre sensibilité et en s'amusant. Oui, ça les amuse ces enfants gâtés de nuire, de faire souffrir et de détruire. De toute façon, les médias fous leur chuchotent "c'est pas vous les méchants" – ce sont ces pauvres, ces punks, ces lucides, ces penseurs, ces…et ces…et tout cas pas vous. Ces médias fous (avec d'autres "incitateurs") auraient-ils contribué à créer une nouvelle génération de BARBARES ? D'anti-humains, de non humains, de régressifs insensibles, de cartésiens de la cruauté ?
Nous n'allons sûrement pas entrer dans la folie médiatique et sa trop toxique anti pensée. Penser est le contraire d'un jeu, on n'y obtirent pas une réponse mécanique instantanée (et sans que le questionneur n'aie a fournir le moindre effort), les "réponses" ne servent pas, non plus, à s'installer dans l'immobilisme anti-progrès, de son cerveau "à bonne conscience à peu de frais pour soi mais à maximum de frais pour les autres "…etc Toute réponse (par respect pour l'intelligence comme pour autrui) mérite un long périple afin d'être à la hauteur de la question. En plus, si la majorité quittait son individualisme suicidaire (si tout le monde reste "enfermé" chez soi où est la société ?) – et "nourrissait" des textes & réflexions de plus en collectifs…nous obtiendrions GUERISON SOCIALE maxima…
Afin d'aider à la réponse, une expérience directe. Des circonstances m'ont placé dans cette situation: dans un lieu exotique, je fus abordé par une ravissante personne qui me vanta de ma musique de la veille, d'où deux heures de fous rires. Elle se trouvait pour une semaine avec un groupe de ses compatriotes. Je rééditais ces rencontres qui lui plaisaient ("tu me guéris" etc.). Afin d'entrer dans une "autre dimension" (pas de romaman surtout!), je saute dans le dernier séjour jour où je lui dis que j'étais heureux d'avoir trouvé du safran de qualité à bon prix (donc une bonne quantité et pas les microscopiques doses habituelles) - elle me répond "je ne fais jamais la cuisine, "on " vient me servir"...Lumière crue et rapide sur un "style de vie" hors cadre. Pendant la semaine, nous étions une partie de la journée ensemble, et devant tout le monde elle m'abreuvait de "je t'aime". Plutôt agréable à vivre. Tout le monde nous "voyait" amoureux. Mais la prolongation de ces "je t'aime" n'eût pas lieu. Autres lieux autres mœurs, autres milieux autres pratiques. Le hasard m'avait fait, temporairement, la "plus star" du lieu exotique (beaucoup étaient aux petits soins!) – mais ailleurs plus le profil …Fille unique d'un député important d'un autre pays, elle pouvait se montrer très chaleureuse, attendrissante… etc. Mais, dès qu'immergée dans son milieu d'origine, se faisait, de nouveau, DESENSIBILISER !!!
Cet épisode en tête, et demandant aux sources du blog de recouper ce qu'il "produit" d'infos pures…nous avons obtenu ceci. Les films d'horreurs peuvent faire dresser le poil, ici, nous entrons dans un "réel terrifiant"…
De nombreux individus, issus des classes très "supérieures" ont perdu tout sens des mesures, tout sens commun, comme, aussi, tout sentiment et toute empathie. De leur vie, elles/ ils n'auront jamais éprouvé le moindre amour. La structure est simpliste: tout pour eux, immobilisé(e)s glacé(e)s dans un rôle "bloqué" (des simulacres de considération extérieure, des mots d'admiration, des mannequins froids de spectacle, etc) et jamais d'effort à fournir VERS les autres. Plus, une exagérée sensation d'impunité (on peut tout faire, c'est jamais grave de faire souffrir les autres, purée on nique tout et le "système" nous incite à amplifier…) donc un perte dramatique de tout sens moral (une immoralité serait bien moins pire mais, là, il s'agit d'ablation pure et simple, de perte définitive…). D'où, lorsque que quelqu'un vous "plaît" mais comme du chocolat ou comme un domestique, un instant de beauté : décrypté, qui enchante vos moments sans que vous n'ayez "d'engagement" à prendre. Soit, ici, une absence complète de loyauté dans les rapports individuels – perdu(e) dans votre bunker anesthésié(e), insensibilisé(e) ou lénifié(e), vous ne SAVEZ plus RIEN des autres (enfant social à vie!). D'où (incapable d'aimer selon le sens commun), mais capable d'attirances, d'intérêts (même fugaces !), de faims de rencontres – vous tentez de "découvrir" l'autre par ce que vous avez sous la main…le je t'aime n'a aucun sens pour vous. Mais, vous avez observé qu'il en a pour d'autres. Vous allez donc "l'essayer" juste "pour voir" l'effet que cela produit. Tout est objet et tout être est objet, aussi. D'où l'usage excessif et très public du "je t'aime" par notre fille de député. Au niveau, relation individuelle, hors une protection garantie institutionnelle (ce n'est pas "la" personne que vous rencontrez mais son milieu tout entier !), toutes plus impossibles les unes que les autres, non "mises en carcan" . On ne "rencontre" que par sentiments et s'il y a carence, perte ou absence (ablation par éducation!) plus de rencontres possibles: donc plus de social, donc plus de Société (versus: les destructeurs se trouvent bien au sommet des sociétés ! CQFD !).
Sinon par hasard et…sans suite.
Cette anecdote, et les recherches que nous avons entreprises à sa suite avec les conclusions exposées au-dessus, n'est pas à prendre à la légère…
Les milieux dirigeants (soit de toutes les activités existantes et pas que celles de gouvernement) semblent, de plus en plus, atteintes de différents syndromes qui les rendent, au minimum, asociaux, ahumains, et très"handicapés", polycarencé(e)s.
Nous les voyons "sans cœur", insensibilisés, incapables de réelle empathie donc de compréhension mentale des conséquences charnelles, émotionnelles, pratiques etc de leur étrange style de vie. En conséquence, avec rien en elles/ eux, qui puisse leur permettre de s'amender, d'évoluer, de se perfectionner…Bref, de stopper net leurs carnages !!!
Non! des êtres "enfermés" dans un rôle "bloqué", avec glaciation absolue de tout sentiment. Inaptitude dangereuse à ne pas aimer..
Avec des êtres devenus aussi incompétents, irresponsables (par désactivation), aussi inaptes, impotents, handicapés, châtrés infirmes, invalides, carencés, diminués, mutilés – l'Humanité est en très grand danger. Ils ne sont plus, même une seconde de leur journée, dans la réalité. Les êtres leur apparaissent dans un halo lointain, comme des abstractions si peu ébauchées qu'on peut les négliger. Et utiliser comme des objets – ils n'ont aucune importance. De par survie (dans leur milieu – la rencontre individuelle de trop riches nous en a montré certains sous un angle favorable – mais nous n'arrivons pas à nous extraire de la sensation qu'ils déguisaient (peut– être) leurs mots et leurs attitudes – ils doivent tuer tout sentiment en eux (l'amour est le premier assassiné). Ceci se comprend ainsi: afin de se "désolidariser" des conséquences écrasantes de leurs décisions irrationnelles (ne pas économiser l'économie est un crime!) et de leurs styles de vie déments et "insoutenables" (un riche coûte si cher à la société qu'il n'y a plus grand chose pour des millions d'autres – exemple, début octobre 2010, Inde 68 milliardaires et 835 millions en dessous du seuil de pauvreté…). Etc. Bref des résultats catastrophiques, dont ils sont les seules causes, les uniques déclencheurs. Et qu'eux seuls (par une complète mutation des styles de vie…) peuvent arrêter. En conséquence, la claire et discutable réalité d'une société détruite PAR LE HAUT – n'est même pas prise en compte. Des dirigeants (sans généralisations hâtives), soit au "cerveau gangstérisés", soit à la "morale d'insurgés contre le réel", soit aux perversions de "dénis du réel" sur le dos des autres – devenus ennemis du plus grand nombre…Et ils ne veulent pas le savoir. Pas le voir du tout. Ni coupables ni responsables. Tout est de la faute des autres. Ils ont toutes les responsabilités et beaucoup de moyens, réforment sans cesse sans rime et hors toute raison, mais ne causent, provoquent rien du tout. Si ce n'est pas cela la vraie "pensée utopique" …
Ils fuient vraiment toute réalité. Et rien ne les incite à agir différemment (donc à revenir à l'Humanité qui ne se "connaît" et reconnaît que par les sentiments) puisque les médias fous les déresponsabilisent de tout. Ajoutant des infos démentes aux impossibles imputations. Présenter les banlieues comme dangereuses "globalement" représente une impossibilité logique puisque, à part leur seul quartier, ils ne semblent pas nuire au reste du monde. Tandis que le trop riche nuit partout, doit être "supporté" par des millions d'êtres (pour chacun) puisque leur "mendicité structurelle" coûte un vraie fortune à la société (pour chacun). Et que donc plus nuisibles et parasites – impossible…Si les médias sont fous, rien ne nous oblige à les imiter…
Notre tâche devient d'empêcher ces ex- dirigeants de diriger quoi que ce soit. Il faut qu'ils se soignent intégralement. Un processus de mise sous tutelle financière lié à des soins approfondis, avec immersions dans les milieux pauvres (afin de se "réaccoutumer" au réel , etc ), et quelques méthodes douces à connaître en temps utile…Leur in-humanité "structurelle" (devenant LE problème mondial !) contraint à les empêcher de conduire l'Humanité au suicide collectif…L'enjeu dépasse, en une seconde, tous les inexcusables enfantillages des médias fous…C'est là que se situe le réel, ils n'y sont pas, plus et depuis trop longtemps – tant pis pour eux…
Lorsque vous verrez une poupée Doll vous dire je t'aime, sachez qu'elle est infiniment à plaindre de ne pas savoir ce qu'elle dit. Mais que (derrière son séduisant visage) nous sommes bien aux mains d'une classe de barbares insensibles – donc "devenus" hyper dangereux : et dont toute sagesse nous confirme que nous devons nous en prémunir !!! tout cela parce qu'elle disait je t'aime "juste" pour voir "l'effet" que cela fait…
(à suivre)
Les" handicapés de la vie" Faut-il les aider ou les combattre? Quand au "je t'aime", cela a encore un sens pour quelques uns, heureusement...
· Il y a environ 14 ans ·annah
... mais non, on ne peut pas "aimer" un nombre illimité de personnes. Pour moi cette phrase est sacrée, du fait de "l'effet que cela fait" et c'est tellement triste qu'elle soit si galvaudée (et ça, ça ne date pas d'hier et ne doit rien à notre classe politique ou à celle d'un quelconque pays).
· Il y a environ 14 ans ·louise-de-bragelonne
Indépendamment de toute réflexion politique (je ne suis pas insensible à la question mais ce n'est pas mon "registre" dirons nous et mon opinion et trop compliquée pour la résumer dans un commentaire), dire "je t'aime" peut changer un million de choses dans deux vies... ou aucune ça ne veut rien dire. Alors oui, cela veut encore dire quelque chose aujourd'hui...
· Il y a environ 14 ans ·louise-de-bragelonne
ON PARLE DE VICTIMES
· Il y a environ 14 ans ·Marcel Alalof